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The Stone Roses

Le premier album des Stone Roses marque la fin d'une époque et le début du second "Summer Of Love" mélange de drogues, de danse et de rock. La new-wave telle que l'on a connu, c'est fini. Bien sûr, Factory à Manchester reste dans le coup avec ses Happy Mondays, New-Order qui, à sa façon, milite pour un rapprochement danse et rock, en profite pour ouvrir la Hacienda. Les bouloupiens jusque là très new-wave tendance gothique prennent aussi le virage grâce aux Sexe des Anges et surtout aux Chinaski's. Bref, nous fréquentons les discothèques et pour certains les drogues récréatives. Les Stones Roses mettent deux longues années à arriver jusqu'à ma platine... Et là, bien sûr, c'est le choc. Rien à jeter, l'album parfait. Leur second album "Second Coming" qui sort en 1994 est également une claque (mais pour d'autres raisons)... Son mélanges de jams et de rock durci à la guitare justifie la musique que nous essayons de jouer à cette époque. Mais ceci est une autre histoire ! Il faudra que j'attende leur reformation et leur passage à la Cigale en 2013 pour enfin les voir sur scène. Voici la démo de leur hymne absolu "I Wanna Be Adored" !

O.D. inédit !

Voici un morceau inédit d'O.D. O.D. pour Olivier et David (Rosane), le groupe Elctro-Folk responsable d'un seul et unique album que l'on peut se procurer ici. Trouvé sur le site de French Fries (leur producteur), une critique plutôt sympa de l'album par un certain Philippe :
"Il y a dans ce disque tellement de matière que même à la dixième écoute, on trouve encore de ces petites choses qui nous font dresser l’oreille, nous surprennent et nous font encore espérer dans cette musique fin de siècle. Il est de ces disques qui nous font penser à ces terres jamais traversées et que pourtant nous trouvons familières. C’est dans ces contrées que DJ Dave and the Olive Twist nous emmènent. Comme dans cette ville imaginaire du film ‘Poussières d’ange’ où on retrouvait des quartiers de Paris, les quais de Lyon et le port de Marseille, David et Olivier ont construit ce disque en mélangeant les repères sans rien perdre en cohérence. Essayez d’imaginer : nos deux zigotos enfermant dans un studio de dix m2, le Velvet Underground, Nick Cave, les Tindersticks, Scott Walker, les Stone Roses, Portishead, les Stranglers, les Nits et même les Miles Davies et John Coltrane de la tournée européenne de 1960 et écoutant tout ce petit monde par le trou de la serrure. Résultat, une cacophonie ? Non, plutôt une harmonie de différents tons qui nous emporte comme un alcool doux. Trop d’influences pour les qualifier de suiveurs. Plutôt des érudits de la musique. Un peu comme l’histoire du peintre japonais qui, pendant des années va observer des fleurs pour n’en dessiner qu’une à la fin de sa vie. Ces deux-là ont écouté les meilleurs disques pendant 20 ans pour faire l’album le plus serein et achevé depuis longtemps. Un disque désenchanté mais pas triste pour autant. Au contraire, le côté ludique comme dans ‘I’m in a zone’, ‘20th century ghost’ est une de ses caractéristiques. Quant aux textes, ils sont chantés à la façon de confidences nocturnes dans des bars, quand l’alcool et le tabac ont fait leur travail de déconnexion avec la réalité triviale. Quand l’esprit est déchargé de la pesanteur du corps et en rejoint d’autres à des milliers de kilomètres de là. “ Ouija board, Ouija board would you help me because I still do feel so horribly lonely ”."
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