Je suis totalement passé à côté des Talking Heads que je n'ai jamais vraiment écouté. Trop sérieux, trop intello ou peut-être trop new-yorkais... Pour autant, je reconnais l'importance d'un David Byrne sorte de génie indé à la carrière irréprochable. Je suis tombé, il y a peu, sur cette outtake extraite des sessions pour l'album "Talking Heads 77" sorti en... 1977. On y entend David Byrne s'attaquer au classique de Nancy Sinatra !
Talking Heads
Thérèse Rackett
Je n'avais jamais entendu parler de Thérèse Racket. Pourtant ce groupe a été en activité de 1983 à 1990. Repéré au Printemps de Bourges en 1985, il sort un premier single en 1986 puis un album produit par Radio France en 1987. Grace à leur frontman, une dénommée Badou Ortega, ils jouissent d'une sérieuse réputation en live. Ils tournent d'ailleurs beaucoup : l'Elysée Montmartre, l'Ubu, le Bikini, passent en première partie des Sugarcubes, Legendary Pink Dots, Xymox... Etc. Ils jouent aussi à l'étranger : Espagne, Autriche... Etc. La mort d'un des musiciens stoppe l'aventure en 1990. En 2009 sort une compil' du groupe et Badou Ortega a également œuvré dans un duo appelé Julie Constantine (qui semble être encore en activité). Voici la face A de leur single, un très bon tître new-wave...
Petit Bout De Bois
2e tître extrait de la face A du premier single de Pegrou, voici "Petit Bout De Bois". Ce morceau punk est précédé d'un petit instrumental qui peut laisser suggérer que ces Pegrou jouent beaucoup mieux qu'ils en ont l'air... Intéressant !
Off 7
Autre extrait de la compilation"10 de Bordeaux", voici Off 7. Le nom est-il une référence à la technique d'impression ? Peut-être... A noter, la présence de Thierry Devisme à la guitare qui œuvrera une décennie plus tard dans les Nowhere Men... Pas plus connu que ces Off 7. Quoi qu'il en soit, les Off 7 ont également sorti un single auto-produit en 1988. On est sur de la new-wave gentillette...
David Rosane dans le studio
Lorsque j'ai supplié, il y a presque 15 ans, David Rosane de retourner en studio (David avait arrêté la musique)... Il s'est d'abord fait un peu prier et puis, il a finalement accepté. Je me suis transformé en producteur et, très vite, des séances ont été bookées chez nos copains de Basement. Malgré de nombreuses versions, David ne semblait pas tout à fait content de ce qu'il enregistrait. Du coup, rien n'est sorti et une rencontre plus loin, il se lançait dans l'aventure Neon Campfire ! Avec Neon Campfire, il a pu finaliser les chansons qu'il avait "esquissé" en studio. Voici un petit souvenir photographique d'une de ces sessions chez Basement.
Le slow qui tue
Ah... Elleen Keen ... Mon plaisir coupable avec encore une fois une tentative de slow de l'été (inclus la guitare qui tue). Elleen est une bonne amie et je suis donc prêt à tout lui passer même un accent anglais définitivement made in France. Dans ce "We'll Meet Again" certains accents gospel sont à noter donnant à l'ensemble une touche presque originale... Mais c'est juste "presque".
Pegrou
J'ai déjà publié une version live de "Diable Elle Tricote" de Pegrou (on pourra la réécouter ici-même). J'ai d'ailleurs trouvé ça plutôt pas mal, du coup, je me suis procuré leur premier single 4 tîtres sorti en 1987. On est sur du punk français "rigolo". Pour être tout à fait honnête, à l'époque, je détestais cette approche (comme le ska français qui sautille de Marcel et son Orchestre). Mais bon, en vieillisant, on se ramollit un peu. Seul défaut... la voix sous-mixée qui ne facilite pas la compréhension des paroles qui doivent être super drôles... Ou pas !
Les Bérus
J'ai retrouvé, il y a peu, ce live des Béruriers Noirs qui est en fait une compilation de deux lives du groupe (datant de 1983) accompagné d'enregistrements en studio. A noter qu'il s'agit de leur première sortie officielle, bien avant leur premier album (qui sortira l'année suivante). Le son est plutôt bon même si c'est un poil minimal !
Not Your Animal pour équilibrer votre 6e chakra
J’ai toujours eu envie de commencer un article par « voici l’album de la maturité… ». Je commence donc cette chronique par… Pour Not Your animal, voici l’album de la maturité. D’accord, c’est purement déclaratif d’autant que Not Your Animal sort - seulement - son 2e « opus » et ne jouit pas encore de la notoriété qu’il mérite. Autre problème (peut-être), cet album n’a pas de nom. Quand Not Your Animal aura atteint, d’ici peu, une reconnaissance méritée, on devra donc dire… « Tu sais le 2e Not Your’ » Pour être « cool » on raccourcira leur blaze. « Oui, tu sais... L'album avec les yeux ».
En parlant de notoriété… J’assistais à un concert, l’autre jour, d’un groupe anglo-saxon jouissant d’une solide réputation dans le milieu des passionnés, quand, au détour d’un pont musical (avec option joli solo), je me suis dit pourquoi Not Your Animal n’est pas là, devant moi, à la place de cette formation (certes de qualité mais pas plus méritante qu’une autre). Nous étions confortablement assis et masqués dans une grande salle parisienne. Pourquoi ? Et bien David, le chanteur de ces Not Your Animal m’a soufflé un début de réponse. Peut-être qu’aujourd’hui l’offre musicale est bien trop large par rapport à un public de plus en plus restreint tant en nombre qu’en moyens financiers. Il est donc possible de passer à côté d’un groupe comme Not Your Animal, à coup sûr noyé dans la masse des 35 000 nouveaux morceaux publiés quotidiennement. Bien sûr, ça me semble profondément injuste et presque dommageable. D’aucun ajouteront que l’ennui des confinements à répétition à également exacerbé la production musicale. Donc précisons : Voici le nouveau Not Your Animal, l’album de la maturité et ça serait dommage de passer à côté. Pour éviter cet écueil, je vous invite à chaudement recommander les Not Your’ à votre « 1er cercle » (parmi les 3 identifiés) comme décrit par les spécialistes des réseaux sociaux. Être viral ou ne pas être.
Not Your Animal n’a pas 20 longues années de carrière derrière eux. Pourtant, chacune de leurs chansons est magnifiquement écrite et interprétée comme seule l’expérience peut le permettre. Ces gars connaissent leur affaire. Tout est magnifiquement joué, enregistré, mixé et produit, créant un écrin pour les plus précieuses chansons de David Rosane, mon filleul adoré. Si par le passé, j’ai prophétisé que « David Rosane ne sera jamais une pop star. » A l’écoute de cet album sans nom (mais avec un œil comme leitmotiv), je me suis – peut-être – trompé ! Déjà, David est notre star « personnelle » que nous chérissons dans un même groupe d’amis comme un secret d’initiés. Un peu comme ce millésime mis en bouteille par un lointain cousin vigneron et que l’on sort à chaque grande occasion familiale. D’ailleurs, dans mes playlists, tourne un grand nombre de ses chansons (d’hier et d’aujourd’hui) mélangées au milieu des plus grands (Liberace, Hughes Auffray, Joe Dassin ou Elvis). C’est un signe. Un bonheur musical et personnel sans cesse renouvelé. Un luxe littéralement hors de prix. Au-delà de ce succès amical de proximité, tout est là pour que le succès de Not Your Animal soit aussi global et massif : le son, les chansons, le look et même le visuel. Donc, succès il y aura… Car je le veux. Et tant pis si on n’a pas à faire à des « spring chickens » c’est encore plus beau, plus authentique.
Vous l’avez compris, je connais David depuis très longtemps et j'ai adoré voir vieillir « l’animal » (pas le vôtre mais bien le mien). J’ai adoré le voir endosser tous les rôles que la vie lui a confié. Toujours avec classe et humanité. Comme celui de père ou celui de l’entrepreneur, par exemple. Et bien avant, d’autres beaucoup plus intimes que je tairais ici pour ne pas rentrer dans la sphère du privé. C’est avec cette matière vivante, celle du vécu, qu’il écrit et qu’il chante. Ça s’entend… Jusqu’à l’ironie feinte dans certains de ses passages parlés (quand ils existent) ... Reste, pour moi, une question qui me hante depuis un moment quant à l’opportunité pour un David de jouer en groupe. Pardon, camarades de Not Your Animal. Car enfin, ici tout est du David pur jus. (Not Your Animal ou pas Not Your Animal). Virtuosité ou non. Même accompagné par un bagad (d’Ille-et-Vilaine) ses chansons sonneraient comme du David. Là encore, après de longues discussions alcoolisées, mes amis m’ont soufflé un début de réponse… Sans le collectif d’un Not Your Animal pas d’énergie… Et donc pas de David. Car David existe aussi musicalement par cette énergie transmise par le groupe, J’allais dire par « le gang » ou par « le pack ». J’en - conclus - aussi qu’il aurait sans doute fait un merveilleux chef de groupe dans les forces spéciales. Mais là, je spécule. Si David s’est débarrassé ici de l’accessoire et d’un certain maniérisme (je compose à la façon de) pour écrire ces nouvelles chansons, il n’a pas renoncé à la classique aventure rock and rollienne. Celle du groupe, concept que l’on doit aux indéboulonnables Beatles (dans son expression contemporaine). Le groupe de rock a été spécialement pensé pour une population tout juste sortie de l’adolescence prête à se foutre sur la gueule à la moindre poussée d’hormones… David n’en n’est plus là - bien sûr - mais c’est bien ce qu’il le fait encore vibrer. Comme cette sensation physique (unique et intense) du premier accord plaqué sur une Gibson Les Paul au tout début du concert. L’énergie du collectif donc mais pas n’importe laquelle. Celle du rock and roll. Celle qui nous faisait tant rire chez des Johnny Hallyday ou des Dick Rivers. Ce coup-ci, rock and roll ou pas, ses camarades de jeu sont réellement au niveau de son talent de compositeur et d’interprète : « Ces gars-là, ils sont terribles ! ». Pour un résultat au combien cohérent bien qu’un peu rétro (qu’ils me pardonnent encore) car le concept d’album a disparu avec la généralisation du streaming. Aujourd’hui on est sur du « snacking » de contenus sur les réseaux sociaux comme sur les plateformes musicales ! Sortir un LP, même en vinyle, à l’heure du single vainqueur souligne une volonté de raconter et de détailler le propos. Pour autant, il n'y a pas de remplissages, ni de temps morts dans ces 10 chansons. Peut-être (aussi) avons-nous juste vieilli et finalement « on s’en branle de ce qui se fait ou pas ». L’important, c’est ce que l’on veut. Et voici ce que veulent les Not Your Animal, ce bel album avec un œil dessus.
Pourtant, rien de complétement nouveau au royaume musical de David et de Not Your Animal… Si ce n’est ce son contemporain louchant parfois vers un néo-psychédélisme comme on l’aime (à grands coups de cœurs et de mélodies qui vont bien). Pas de sitar ou de tabla version hindouiste, non plus. Faut pas déconner, l’Animal vient du punk. Quand j’annonçais qu’il faisait « œuvre » dans mon précédent article je ne m’étais pas trompé. Ce second opus de Not Your Animal le confirme (une fois de plus). David, chanson après chanson, construit un ensemble cohérent autour d’un fil rouge mélodique et thématique qui devrait sauter aux oreilles de celui qui - un jour - écoutera l’intégrale Rosane… De Seaton à Not Your Animal dans un avenir que je souhaite le plus lointain possible. Les intégrales annoncent souvent une fin prochaine. David n’en est qu’au début. Je soulignerai au passage, la beauté de ces chœurs, magnifiquement mixés et réalisés avec amour (à n’en pas douter) par la compagne du dit David.
La dernière fois que j’avais pris la plume pour parler d’un projet musical de David, c’était pour parler de ses Gardiens de Zoo. Depuis, l’état sauvage a repris le dessus libérant l’énergie de cet animal, un groupe de rock dont le nom commence par une négation. Comme pour signifier que le règne animal n’appartient à personne. « Je ne suis pas ton animal, salope » (et vice versa). Bref, je ne suis pas à vendre… Même à celui qui m’écoute. Un peu d’intégrité ne peut pas nuire. Pour autant, les Not Your Animal ne distribuent pas les tracts à la sortie de l’usine. J’aime aussi David pour ça. Pour ce propos que l’on retrouve dans toutes ses productions. Rien de trop extrême non plus dans ce long, rien de « faux » ni de distordu, juste de la très bonne pop parfois soutenue, souvent tubesque. Parfois les deux. Et c’est bien.
Ce coup-ci, également, Not Your Animal a mis toutes les chances de son côté en faisant travailler visuellement celui que j’ai toujours considéré comme un « grand » du graphisme, le camarade Guillaume B. Il a su créer cet œil que j’imagine aisément être le 3e. Ce 3e œil correspond au 6e chakra. Celui qui est l’archétype du « sage » puisque (musicalement) ici, tout est équilibré à la perfection. Son approche moderniste débarrassée des tics branchés donne une assise à l’ensemble qui est également remarquable ! On dirait déjà un classique.
Alors, allez-y car tout est là… Not Your Animal, simple, beau et efficace ! et comme disait Bouddha « Avec nos pensées, nous créons le monde. » et le Monde créé par Not Your Animal est magnifique.
Pour plus d'informations, c'est ici !
Rat Race
J'ai déjà publié ce tître des Monkey Business... Sauf que la vitesse n'était pas la bonne. J'ai donc retravaillé le son et la vitesse pour un résultat assez moyen bien que plus réaliste. Dommage que je n'ai pas trouvé d'autre source un peu plus qualitative car j'aimais bien cette chanson. D'autant que je crois me souvenir avoir apporté l'idée de base.
The Lure Of The Rockpools
Comme d'hab' qui dit Face A, dit Face B. Voici le flip side du single des Marine Girls sorti en 1981.
Marine Girls
Je me souviens de la première fois où j'ai écouté ce groupe de filles originaire de Hatfield. Ces Marine Girls étaient sur une compilation Cherry Red au début des années 80 et nous étions dans une boutique de disques d'occasion qui s'appelait la Seconde Main. J'étais amis avec les tauliers et j'y passais la plupart de mon temps libre. Bien sûr je connaissais Tracey Thorn qui venait de se lancer dans l'aventure d'Everything But The Girl (avec Ben Watt). A cette époque le duo ne donnait pas dans l'électro de qualité mais plutôt dans une pop accoustique jazzy et minimale. Bref, ces Marine Girls me rappelaient la fragilité pop des Young Marble Giants mais avec une approche un poil plus classique. Il était très difficile de trouver, à l'époque, un de leur trois albums. Bref, voici la face A de leur premier single sorti en 1981.
Zoom de Bordeaux
Voici extrait de la compilation "10 de Bordeaux" Zoom qui ne brille ni par son originalité ni par la qualité de sa mélodie. Voici "Recommence Tout" qui ressemble au pire de la variété que l'on pouvait produire à cette époque. Bien évidemment, je n'ai rien trouvé sur cette formation et c'est tant mieux...
Art 314 dans El Reactor
Trouvé dans le fanzine EL REACTOR (de Tours) n°4 datant d'Octobre 1986, voici un petit article sur Art 314.
Art 314
L'article 314 est un article du code civil sur la filiation mais c'est aussi un groupe de Bordeaux très influencé par le pub rock et plus particulièrement le rythm'n' blues de Dr Feelgood. A tel point que sur cet album datant de 1986, c'est Lee Brilleaux, le chanteur du dit Dr Feelgood qui produit. Incroyable... Que s'est-il passé entre ce groupe de quasi inconnus et la star anglaise ? Sans doute un coup de foudre. Art 314 semble avoir existé de 1979 à 1999. Voici un premier court extrait !
Jonyv's et le MC Big Band
J'ai retrouvé dans mes archives une très jolie photo du camarade Jonyv's (Fricotins, Monkey Business et surtout Nouveaux Monstres, Jean_Marc) au sax baryton lors d'une séance de photo pour la réalisation de la pochette du disque du MC Big Band. Une photo qui a presque 20 ans. On pourra écouter le MC Big Band ici-même !
Cérémonies dans La Revue Thésaurus
Quand Claude Picard m'a proposé d'écrire pour son fanzine, j'ai, bien sûr, tout de suite accepté. D'autant que j'avais carte blanche tant sur la thématique que sur le format. Il était temps pour moi de replonger dans l'aventure Cérémonies et d'en dérouler la chronologie (malgré la distance et les souvenirs flous). C'est pour Cérémonies - aussi - que je me suis lancé dans l'aventure de ce blog avec pour ambition de rendre hommage à ces initiatives musicales oubliées. J'ai donc contacté Franck War (chanteur du groupe)... Pour parler du bon vieux temps... Et si j'ai du mal à me souvenir, je crois que c'est pire pour lui qui est passé à autre chose depuis bien longtemps. Tant mieux... Pour ma part, je pensais pouvoir revenir sur nos années 80 sans nostalgie. Mais, à force, j'avoue que le plongeon dans le passé me fatigue et m'empêche parfois de me projeter dans le Futur. Quoiqu'il en soit, l'écriture de ce long texte m'a pris pas mal de temps et c'est avec une certaine joie que j'ai découvert la chose imprimée et distribuée. En l'écrivant, je me suis rappelé de cette chanson de Willie Nelson qui parle de "ses années de formation" dans le circuit country. Ce "Me and Paul" je l'ai beaucoup écouté avec John (mon beau-frère) alors que nous traversions les USA en voiture. J'ai longtemps médité sur ces paroles, me demandant qui était ce Paul et constatant que de la new-wave-punk et la country "outlaw" sont assez proches (dans la philosophie). C'est donc par une citation extraite de cette chanson que commence mon article qui documente cette, finalement, très belle histoire. Ma femme me faisait remarquer que seul Franck s'en est sorti presque indemne (et moi aussi d'une certaine façon). J'ai évité certaines anecdotes scabreuses qui méritent d'être oubliées, d'autres me sont revenues (et j'ai bien rigolé en y repensant). Bref, achetez La Revue Thésaurus N°1 ... Pour moi, mais aussi pour le single des Lou's et tous ces articles essentiels autour du punk, du rock et de la culture Pop ! Je travaille déjà sur un 2e article qui est quasiment une suite puisque c'est de ma "carrière" de musicien dont il s'agira. Cette revue est disponible chez Parallèles, Gibert Musique et toutes les bonnes crémeries ainsi que sur le site web de Claude.
Le 1er single de New Buildings
Ici on pourra télécharger en Mp3 le 1er single 3 tîtres du groupe catalan New Buildings sorti en 1983.
Longues Avenues
Dernier extrait du premier single de New Buildings, voici "Longues Avenues". Un tître qui sonne très Siouxsie !
Le maxi de Gamine
Ici on pourra télécharger le maxi 3 tîttres "Harley Davidson" de Gamine sorti en 1984 sur le label Surfin' Bird.
Bleu Pâle
Deuxième tître de Gamine présent sur la face b du maxi "Harley Davidson" sorti en 1984, voici le très enlevé "Bleu Pâle". Cette chanson est typique de la formation bordelaise !
Le Surfin' Winter E.P. des Fizzbombs
Ici on pourra télécharger en Mp3 le "Surfin' Winter E.P." des Fizzbombs sorti en 1988 !
New Buildings dans New Wave
Trouvé dans le N°26 de New Wave (Octobre 1984) voici un petit article qui m'a donné pas mal d'infos sur le groupe !
Humo
2e extrait du premier single de New Buildings avec une basse à la Joy Division/New Order comme on les aime !
Blue Summer
Dernier extrait du génial maxi des Fizzbombs anglais : soniques et surf ! Le download devrait suivre bientôt !
New Buildings
Voici le 1er titre d'un single autoproduit des New Buildings sorti en 1983. Le disque a été pressé en Espagne et le groupe est catalan même si leur chanteuse Jeannette Porter chante en plusieurs langues (dont le français). Il semblerait que le groupe a pas mal tourné, surtout en Espagne mais qu'il ai joué pour un concert privé au Parking 2000 dont j'ai déjà beaucoup parlé. Le groupe a sorti 3 singles et un album live entre 1983 et 1988. Après, on perd leur trace. Deux des musiciens ont œuvré plus tard pour Pascal Comelade, ce qui est plutôt bon signe... J'aime beaucoup leur new-wave typique de ces années-là.
Un bout d'Etc's
J'ai retrouvé ce bout de bœuf avec les Etc's... La formation entre les Ficotins et les Monkey Business. Et j'imagine que c'est moi qui joue du synthé !
Elleen lyrique
Alors là, on vise le slow de l'été en mode FM... Quelque part entre Céline Dion et la musique du dernier blockbuster américain. Avec un je ne sais quoi qui sonne "Broadway" des années 80. Trop fort. Merci Elleen Keen !
The Jazz Butcher
Les Jazz Butcher est un groupe originaire de Bristol formé par Pat Fish et Max Eider en 1983. En 2000, le groupe s'arrête puis reprend du service en 2012. En plus d'une discographie plutôt fournie, la formation a eu d'incessants changements de personnel et a compté dans son line-up deux anciens Bauhaus : David J. et Kevin Askins. Si les Jazz Butcher n'ont jamais eu de vrais grands succès, ils incarnent à la perfection un certain esprit indie de ces années-là : qualité, bonnes références et son impeccable. J'ai trouvé cette reprise live de John Cale (extraite d'"Helen Of Troy") sur une compilation d'Abstract magazine sortie en 1985.