The Chameleons à l'Eldorado !

Si il est un groupe que tous les bouloupiens ont écouté, c'est bien The Chameleons. Cette formation est, depuis, devenue "mythique"... Avec un M majuscule. Les Chaméléons avaient une forme de grâce et le sens des mélodies qui tuent. D'après Wikipedia : "The Chameleons est un groupe de post-punk britannique, originaire de Middleton, dans le Grand Manchester, en Angleterre. Le groupe se composait du chanteur et bassiste Mark Burgess, du guitariste Reg Smithies, du guitariste Dave Fielding, et du batteur John Lever. Le groupe se sépare une première fois en 1987, après trois albums, à la mort de leur manager Tony Fletcher, avant de se reformer en 2000. Ils enregistrent alors trois autres albums (deux unplugged, et une version studio), réalise une tournée, puis The Chameleons se séparent à nouveau. Le batteur John Lever meurt en mars 2017." Le 31 Mai 1985, les bouloupiens sont tous à l'Eldorado pour voir leur groupe fétiche. Ici, la setlist du concert. 4 jours avant, les Chameleons ont joué à Lyon. Voici un extrait de ce concert, à défaut d'avoir retrouvé leur concert parisien !
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Marc Seberg, la balance !

Merci à Marquis Seberg (sans doute, le canal "officiel" animé - je crois - par le fils de Philippe Pascal) pour ce document télé visuel d'époque ! Il s'agit d'une "balance" de Marc Seberg avant un concert pour la fête de la musique. Concert auquel nous avions assisté, il me semble !
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Domino

Le 6 Juin 1984, les Cramps jouent à l'Edorado, à Paris ! Concert intense et rock and roll mené par un Lux Interior très en forme qui n'hésite pas à dévoiler toutes les parties intimes de son anatomie. Cette fois-ci, il s'agit de "Domino" une reprise de Roy Orbison, période Sun Records que les Cramps ont enregistré pour leur "Gravest Hits".
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Et hop, un 2e Surf Piranhas

Allez, vacances d'été obligent, voici le second morceau des Surf Piranhas extrait de la compilation Fireball. Ce "Skindriver" est un inédit qui n'apparait pas sur leur unique LP/CD. En fouillant un peu, je me suis aperçu que Jansen Press (guitare/chant) apparait sur un paquet de productions (Carrousel Vertigo, Jolynn Daniel, Ron Lasalie... Etc.)  toutes plus inconnues les unes que les autres. Drew Weaver (l'autre guitare/chant) a, de son côté, sorti plusieurs albums axés rockabilly/surf sous son propre nom dont un en France (Drew Weaver and the Vibrabeams "Mystic Rite") en 1987 avec le même batteur que les Surf Piranhas et Laurent de Gasperis à la guitare solo. Gasperis a fait une tentative de carrière solo à l'époque (L2G) et j'avais bien aimé son album...
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Guernica

Guernica est le premier groupe de Loran, le guitariste des Béruriers Noirs. C'est sans doute pour ce fait d'arme que l'on se souvient de cette formation même si, en soi, elle ne manque pas d'intérêt. Pour ma part, j'avais le split album qu'ils ont sorti avec les Béruriers Noirs (chez shin product) sans savoir que les 2 formations partageaient le même guitariste. Les spécialistes du genre les qualifient de "post-punk minimaliste" et rien que le choix de leur nom situe tout suite l'ambiance générale. Quand les Bérus sont apparus sur la scène punk, j'étais un peu trop âgé pour adhérer complétement mais j'aimais bien leur démarche même si certains de leurs riffs me semblaient un peu trop pompés (sur Exploited et d'autres groupes de la seconde vague anglaise). Anyway, voici Guernica !
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Suite des aventures de l'Affrontement !

2e tître extrait de la démo de l'Affrontement (ou Perfekt Affrontement d'après la K7). Ce "Banlieue Punk" porte bien son nom même si le rythme s'est ralenti (par rapport à leur reprise des Ramones). Le plan de guitare n'est pas sans rappeler celui de "The Passenger" d'Iggy Pop sorti en 1977. Très franchement, y'a pire comme influence et Iggy est et a été le papa des punks. La voix de Franck est plus grave que sur ses autres "exploits" attitude punk oblige. Je n'arrive toujours pas à réaliser que cette formation date de 1979 ou 1980... Elle intégre naturellement le style alors que pour la plupart des français, à l'époque, punk = Plastic Bertrand. Soit, une aimable plaisanterie sur laquelle on peut danser à la surboum de l'école. Depuis, Sonic Youth a repris "en main" le tube de Plastic pour en faire un morceau mythique et fondateur. Mais à l'époque... La plupart des groupes punk français ayant sorti un disque sonnaient soit comme du garage acidulé (le son des batteries, c'était quelque chose) soit comme du Television mal digéré (intellos obligent). Pas l'Affrontement et c'est ce qui fait la beauté de ces morceaux...
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Seaton, première période !

2e tître extrait de que je crois être la première démo de Seaton, voici "November". Une chanson un peu plus fluide que le 1er tître déjà publié. Toujours très amusant d'entre la voix "de jeunesse" de notre David Rosane national ! Comme toujours, la photo qui illustre la vidéo est l'œuvre de Fabrice Plas.
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Les Surf Piranhas

J'ai toujours adoré le rock instrumental à la Dick Dale. Le son de la reverb' et le touché d'une strat'. On n'a pas fait mieux ! Quand en 1984, les Surf Piranhas sortent leur LP sur Underdog, je l'achète de suite. Ce disque ("Both Side Of Surf") est un ovni dans le paysage musical de l'époque. Je ne sais pas grand chose de ce groupe si ce n'est qu'il comprend quelques américains exilés (et depuis repartis faire du surf) et que d'une façon ou d'une autre Coluche leur a filé un petit coup de main. Voici "Rockin' Dive Party", un titre chanté du groupe (?) que l'on trouve sur la compilation Fireball dont j'ai extrait François Alysse, les Stunners et De Luxe. Ce tître se retrouvera dans leur seul et unique LP mais dans une autre version. D'où l'intérêt de cette vidéo. Let's go surfin' !
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Les Cramps et Andre Williams

Le 6 Juin 1984, les Cramps jouent à l'Edorado, à Paris ! Concert extrême, il suffit de voir les photos que j'utilise pour illustrer les vidéos pour s'en rendre compte. D'ailleurs, ce concert finira par une mini-émeute et une descente de police. Cette fois-ci, les Cramps s'attaquent au classique d'Andre Williams : "Bacon Fat". J'ai publié un featuring live d'Andre avec le groupe de John Spencer. Andre Williams est mort cette année mais il a classé ce titre dans le top Rythm'n'blues en 1957. Surnommé le "Black Godfather", Andre est connu pour son approche un peu "trash" et "salace". On lui doit aussi le classique "Soul" : Shake a Tail Feather.
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Stygmat

Voici Stygmat, un groupe "dissident" du groupe dont je vous ai parlé l'autre jour : l'Affrontement ! Je n'ai que peu d'infos sur ce trio apparemment "New wave" et qui comprend Boubich, Bosniak et Gordon.Voici un premier tître dont je ne comprend pas les paroles (même au casque)... Est-ce de l'anglais ? Du français ? Difficile à dire ! J'imagine que le visuel qui accompagne la vidéo a été fait par Franck W. mais rien n'est moins sûr. Bref, peu ou pas d'infos sur Stygmat qui se définit comme du "Rock Trop"
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Jivin' Instructors (4)

Ah désolé, pris dans le mouvement, j'avais oublié de publier ce tître live des Jivin' Instructors qui se trouve en 3e position sur leur démo. Avec cette publication s'achève ce que j'avais en réserve sur le groupe. On pourra se rendre sur MySpace si l'on souhaite un peu plus de Néo-swing originel bien avant que ce mouvement déboule aux USA !
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L'Affrontement, au début !

Il m'a fallu attendre 40 ans pour entendre, pour la première fois, l'Affrontement ou "Perfekt Affrontement" selon la K7 audio d'époque. Le groupe est constitué de Pascal Bouris, lead guitare (dit Boubich, le Commandant Jack Détergent) fondateur du mouvement bouloupien, Jean-Jacques Frochtman (dit Piep', Johnny Valstar) guitare rythmique, Eric Bouris (frère de Pascal, dit Bosniak Cornelius le Gerbonaute) à la batterie, Franck Waroquier (dit Tom Carbone) chant, Hervé Hénocq (dit Gordon Gossips rapport à la série les Mystères de l'Ouest) à la basse. Premier tître publié, une reprise des Ramones, le fameux :"Blitzkrieg Bop". Sachant que les Ramones l'ont publié en 1976, en France, en 45 tours, c'est plutôt héroïque et rafraichissant d'entendre cette reprise. Les Ramones sont, en 1979, très, très underground et loin d'être devenu une marque de tee-shirt que l'on trouve parfois chez C&A. Le Punk Rock existe déjà  depuis quelques années dans notre beau pays avec des groupes comme Asphalt Jungle ou Métal Urbain. Ces groupes sont loin de l'approche punk rock originelle. L'Affrontement n'a rien d'arty, ni de parisien. C'est une bande de teenagers issue de la banlieue qui a découvert ce courant musical et tout de suite adhéré. Si leur répertoire est punk, le groupe lorgne déjà vers une approche plus new-wave du style Cure. Pour preuve, un bœuf entendu qui sonne un peu dans le genre. Mais L'Affrontement est  punk pour le fun et/ou pour la dimension subversive. Le groupe va tourner (un peu) et jouer au Golf Drouot (qui fermera en 1981). L'Affrontement sera le premier groupe (punk) à jouer sur l'île de Groix. Gordon, à qui on doit ces documents, m'a raconté une anecdote plutôt amusante : " La K7 a été enregistrée sur mon vieux poste Panasonic des année 76 soit disant stéréo dans l'usine de feu mon parrain de chaudronnerie au 1er étage avec escalier en bois, donc tout un périple pour monter tout le matos (batterie, amplis, guitares, etc.) et Piep', véritable Pierre Richard, avait déclenché le démarrage des machines en appuyant sur ce je sais quel bouton. Panique à bord, mais on a réussit a tout stopper a temps." Si un jour, on publie une nouvelle anthologie du punk en France, le groupe mérite d'y figurer ! Dernier point, la qualité sonore de l'enregistrement laisse parfois à désirer... Pas de problème, c'est l'esprit de l'époque !
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2e K7 de Seaton

J'attaque la seconde maquette audio de Seaton. La pochette faite main est de plus bel effet. Seule indication, un tître : "Songs of The Soul". Chaque face porte un nom et c'est par la face "The Songs" que j'ai attaqué. Voici "A Piece Of The Dawn". Même si il n'y a pas d'indication de dates, on comprend à l'écoute que ces enregistrements datent d'avant les enregistrement studios 87/88. La voix de David bien que reconnaissable est toute fluette quant au jeu du guitariste Toto Rigelstein, il est lui aussi assez... Fluet. On reste dans une ambiance très new-wave qui n'est pas sans me rappeler "Spear of Destiny".  Cette démo a été enregistrée à Jouques (petite ville près d'Aix) au Studio de l'Angoisse dont je n'ai trouvé aucune trace sur Internet. La photo qui illustre la vidéo est l'œuvre de Fabrice Plas.
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Les Cramps à l'Eldorado

2e extrait du concert des Cramps à l'Eldorado à Paris. Voici "Sinners", une reprise de Freddie & The Hitch-Hikers. Nous sommes en 1984 et ils n'enregistreront ce tître qu'en 1994 pour leur album "Flame Job". Ce concert et la tournée qui va avec correspondent au retour du groupe au devant de la scène rock, après de longs démêlés avec leur premier label : Irs Records. Ils viennent de sortir leur live "Stay Sick" chez New Rose et ils sont chauds comme la braise. Je garde un très bon souvenir de ce concert un poil extrême puisque le public énervé cassa tous les sièges et les portes vitrées à la fin du concert. La photo qui illustre la vidéo provient de ce concert et illustre plutôt bien la prestation à base de vin et de terre mélangés que nous a délivré Lux !
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Panik LTDC, une maquette de 1993

Nous avons beaucoup fréquenté Panik, ne serait-ce que parce que Christian (le chanteur) est le frère de Bruno, batteur de Cérémonie et Monkey Business. Les Monkey ont joué en concert avec eux et plus récemment, David Rosane et les Zookeepers aussi. Voici une petite démo inédite du groupe datant de 1993 !
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L'anniversaire de François Alysse

Je continue de "tracer" les aventures de François Alysse. J'ai déjà diffusé plusieurs morceaux issus du gigantesque bœuf organisé avec les Stunners à Cachan, chez West Image pour son anniversaire. Pour cette occasion, François avait enregistré une chanson, sorte d'auto-célébration, drôle, mégalo et complétement étrange. Là voici... Grâce à cet auto-hommage adressé à sa grande personne, j'ai pu retrouvé l'année : 1989, l'âge de François d'alors : 35 ans et la date précise : le 24 Juin ! Beaucoup d'infos qu'il me manquait. Je n'ai aucun souvenir de cette chanson mais plus rien ne m'étonne à posteriori. Cette Chanson du 35e anniversaire, sonne comme du Dutronc sous acide avec une pointe de Nino Ferrer ! Plutôt pas mal. Pourquoi n'avoir pas poussé dans cette direction ? La photo qui illustre la vidéo a été pris bien avant, sans doute autour de ses 18 ans.
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Les Rois Fainéants

Il y a quelques jours, une bonne âme a publié sur YouTube une vidéo des Rois Fainéants à Côte d'Amour le 20 Février 1985 ! Deux tîtres "live"comme on les aime...
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Iridaes, entre clacissime et modernité !



Une de mes passions musicales a pour nom "l'Outsider Music". Pour faire court, ce domaine rassemble tous les musiciens et artistes qui ont la capacité de s'inventer en dehors de tous repères possibles, des modes ou de courants musicaux existants. Ces artistes "entendent" quelque chose qu'ils sont seuls à entendre et souhaitent le partager avec le monde entier. C'est Florence Foster Jenkins qui s'imagine chanteuse d'opéra ou les Shaggs qui enregistrent un album après un mois de répétition, sans jamais avoir pratiqué un instrument de musique. Ces deux-là sont devenus des super stars du genre. Pour creuser le sujet, je vous invite à lire "Songs in the key of Z" et d'écouter les CD qui vont avec. Bref, c'est de l'Art Brut version musicale.

Dans mon entourage, j'ai fait la connaissance d'une possible incarnation de cet "Outsider Music". Il ne s'agit pas pour moi de me moquer facilement mais plutôt de rendre une sorte d'hommage à ce "loner" de la musique instrumentale. Un jeune homme d'une trentaine d'années nommé Iridaes (on comprendra que ce n'est pas son nom de naissance). Iridaes a, à son actif, 4 albums de musique instrumentale qui se situe quelque part entre la musique new-age, le néo-classique, Tangerine Dream, Saint-Preux, Richard Clayderman ou Jean-Michel Jarre (des années 70).  4 albums auto-produits, bien sûr.

Ce qui est impressionnant c'est la construction de ce personnage... Entre mage mystique (on pense à un cousin de Raël) et musicien multi-instrumentiste de génie des années 70 avec le nom qui va bien. Son flyer le définie de cette façon : "Iridaes fait partie des musiciens qui considèrent  le synthétiseur comme un véritable instrument. A tel point que la nature électronique de celui-ci finit par s'effacer pour laisser place à l'essentiel : la musique. Elégante, mélodieuse et raffinée, elle virevolte entre classicisme  et modernité, nimbée d'un halo délicieusement  irréel. Pianos, cordes, tintements cristallins, nappes éthérées... Les sonorités alternent et s'entremêlent au fil d'un discographie déjà riche de 4 albums. S'ajoute à celà un goût prononcé pour l'élégance et la fantaisie visuelle. Loin de se limiter à la musique, Iridaes développe un véritable univers. Un voyage au bout du rêve, où se déclinent toutes les nuances de l'émotion." Je ne vais pas faire une explication de texte mais le style de cet écrit colle complétement avec le contenu musical et dévoile un fantasme d'universalité qui est loin de coïncider avec le genre musical. Il s'excuse aussi de jouer du synthétiseur qui par le Passé n'était pas considéré comme un véritable instrument. Ceci dit, aujourd'hui, n'importe quel artiste de variété sort son DX7 reconditionné pour faire "branché" et à la mode. Sa "fantaisie visuelle" (c'est lui qui fait tout même les visuels) est également utlra-datée et peut évoquer au mieux Era et au pire la cover d'un album de Klaus Schulze sorti dans les années 70.  Ce qui est étonnant et qui le fait rentrer directement dans la catégorie "Outsider Music" c'est le fait qu'il ne se pause pas la question du professionnalisme de ses réalisations. Il se considère d'abord comme un artiste et en temps que tel (et du fait de "son art"), il n'a pas vraiment besoin de l'apport d'autres : musiciens, producteurs, ingé. sons... Etc. D'ailleurs, il le dit dans son flyer "Iridaes fait partie des musiciens". Il n'est pas un amateur éclairé, non un "musicien", un pro. quoi.  Ce qui me fait dire - aussi - qu'un concert d'Iridaes doit furieusement ressembler à ses CD.

Ce qui est également très beau chez Iridaes, c'est qu'il n'y a aucun second degré et que ce texte de présentation (par exemple) est à prendre pour argent comptant. En fait, il nous arrive tout droit du Passé via une faille spacio-temporelle. Ce qui est touchant enfin, c'est le peu d'intérêt que l'on porte à sa musique que je crois pourtant authentique. Pour s'en convaincre, il suffit de regarder le nombre de vues sur ses vidéos YouTube. Pire que celles que je publie pour mon blog. C'est tout dire. Pour en savoir plus, on peut aller sur son site web ou bien ici-même. En complément, la vidéo qui va bien avec un Iridaes en chemisette ce qui force le respect ! 
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Elvis, hardcore !

Aimer Elvis Presley, c'est rentrer dans la secte secrète des adorateurs de ce dieu du Rock and Roll. On admire autant sa musique que sa vie qui résume si bien l'American Way Of Life. Né dans la misère, notre homme a pu s'élever socialement grâce à un de ses dons : la Musique. Il a beaucoup travaillé et a gagné pas mal d'argent. Bien sûr, on oublie de préciser qu'il n'a jamais reçu de vraie éducation même quand il en a eu les moyens... Et que l'argent sans un certain goût né du savoir peut déboucher sur... Elvis. Aux USA, il est toujours l'objet d'un culte et il n'est pas rare de trouver dans certains magasins un rayon dédié qui offre la possibilité d'acheter des salières, des montres, des portefeuilles, des... Etc. Elvis. Sa discographie n'est globalement qu'un assemblage de singles, plus ou moins bien fait. Parfois, la distance donne une certaine grâce à ces assemblages. C'est le cas de ses 2 ou 3 premiers LP. Parfois, ces assemblages sont plutôt calamiteux. Je pense à tous les"My way" et autres "Elvis Now !" plutôt dispensables. Mais tout ceci ne sont que des détails, car au final, reste la voix et la fulgurance des certaines de ses chansons. J'avoue aimer Elvis depuis toujours et je me suis demandé quel pouvait être l'absolu du collectionneur quand on aimait le King. Je suis arrivé à la conclusion que l'on était prêt à collectionner jusqu'à son message de répondeur. Et c'est justement ce que j'offre à mes gentils lecteurs. On peut trouver ce message sur 2 ou 3 bootlegs et même sur YouTube. Mais la version que je publie aujourd'hui, je l'ai édité moi-même avec tout le soin (et l'amour) possible.
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Les Désaxés, toujours !

Voici 2 morceaux que les Désaxés semblaient enchainer quand ils les jouaient en live. Ces 2 morceaux apparaissent également sur leur unique album sorti sur Réflexes. Le premier tître est un original du groupe, le second est une reprise de Françoise Hardy datant de 1964. Ce "Je Veux Qu'il Revienne" est lui-même une adaptation en français d'un succès du groupe anglais : les Vernon Girls. C'est Charles Blackwell qui est à l'auteur de ce tube. Un producteur bien connu qui a fricoté avec Joe Meeks au début de sa carrière. Ce concert a été diffusé sur RFI, ondes courtes, à l'époque. D'où le son un peu pourri...
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The Jivin' Instructors (3)

Voici un 2e morceau extrait de la démo des Jivin' Instructors. Ce coup-ci, on est dans une approche un peu plus rock and roll ! Même si globalement, le son néo-swing est toujours bien présent. Cette démo a été enregistrée en live au Albany Empire à Londres en 1986. Sur la photo qui illustre la vidéo, on aperçoit à droite un homme chauve avec des lunettes noires. Je me souviens clairement de lui parce que, lors de leur concert, il était en col roulé et en costard, avec une grande chaine autour du cou. Ce look beatnick m'avait fait une forte impression.
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Et voici Deluxe

Deluxe est présent sur la compilation "Fireball" d'où j'ai déjà extrait deux tîtres des Stunners et deux tîtres de François Alysse. Ce "I Need A Girl" est dans une veine garage comme on les aime : crad' et bien enlevée. Je me suis donc intéressé à Deluxe. Je n'ai trouvé que très peu d'infos sur eux. Ils sont originaires de Caen (d'où leur présence sur "Fireball"). Ils ont sorti, un peu après cette compil', un single deux tîtres autoproduit. On trouve également sur Facebook, un groupe qui leur ai dédié parce qu'ils ont sorti un album, il y a quatre ans... Toujours autoproduit (et dans la même veine, écoutable sur bandcamp). J'en ai profité pour piquer le visuel qui illustre la vidéo. Le chanteur s'appelle "Agranier" comme la chanteuse des Etc's. Je me souviens qu'à l'époque Véronique (Agranier) m'avait dit que l'un de ses cousins faisait du garage et avait sorti un single. Bref, le Monde est petit même si je ne pense pas que c'est le cousin en question... Voici les Deluxe ! 
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Un différent "moi"

Je continue de publier des morceaux extraits du live des Dogs au Palace, le 15 Avril 1982. Ce concert a été diffusé sur Radio 7 d'où le jingle que l'on entend au tout début du morceau."A Different Me" est un autre classique du groupe composé, cette fois-ci, par leur frontman Dominique Laboubée. On le trouve sur leur LP "Different" de 1984 sorti sur Closer. La photo qui illustre la vidéo date d'avant ce concert puisqu'il manque leur lead guitariste : Tony Truant. Tony a, depuis, fait une carrière en solo et surtout rejoint les rangs de Wampas.
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S. N.

Allez, je ne résiste pas à l'envie de republier un autre morceau extrait de l'album auto-produit du Baron Rouge. Ce "S. N." est un peu plus mélodieux mais reste dans l'approche de ce groupe catalogué, je ne sais pas pourquoi, comme "punk". En fait, j'aime bien leur côté "à l'arrache" et un peu brouillon.
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Le 2e trailer de Jean-Marc

On a beau avoir passé les 50 ans, on n'en reste pas moins un passionné de musique. Après avoir œuvré dans les Nouveaux Monstres, Marc-André et Jean-Yves, soit "Jean-Marc"  ont décidé de s'axer principalement sur le live. Ils travaillent depuis quelques années sur un nouveau répertoire jouable en live et constitué de reprises : Beastie Boys, Devo, Pil ou... Nouveaux Monstres. Dans ce trailer c'est un bout de "Who Do You Love ?" (Bo Didley) que l'on découvre sans le chant. Brigitte Marjo étant basée à Rennes, elle ne répète avec eux que de temps en temps. Ils ont pour projet d'enregistrer une démo avant de tourner un peu !
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Dernière démo 87/88 de Seaton

Et de 4 ! Voici la dernière démo de Seaton extraite du sobrement intitulé "Studio 87/88". Je sais que mon ami David (chanteur du groupe) déteste que l'on compare mais dans ce cas précis, la guitare de Toto Ringelstein m'a fortement fait  penser au glam gothique de Bauhaus. Peut-être le son, peut-être la façon de jouer, anyway... Ici s'achève la comparaison. Encore une fois, ce "Yellow Fever" est intense et habité, laissant un peu de côté la qualité de la mélodie. Qu'importe. On sent la fièvre monter ! Comme toujours, la photo qui illustre la vidéo est l'œuvre de Fabrice Plas.
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Le retour des Specials





Le 27 Septembre 2011, les Specials jouent à L'Olympia à Paris. Un concert que j'attends depuis... euh... l'achat de leur premier album en 1979. Plus de 30 ans d'attente donc et hop, le groupe black and white est de retour, presque sans une ride (non j'rigole !). Sans Jerry Dammers mais avec Terry Hall ! Un Terry Hall un poil cynique sur scène. Il semble être là presque à contre-cœur. On se dit que ses multiples formations post-Specials ne lui ont pas apporté le succès qu'il attendait et méritait légitimement. Il est peut-être temps de trouver l'apaisement et de pouvoir payer ses impôts. Terry est un poil bouffi mais il chante avec une vraie intensité. Bref, pour moi, c'est le bonheur des retrouvailles.
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Avant Dolly, Dolly & Co

2e extrait du mini album de Dolly & Co (formation pré-Dolly) voici "Really Got You". Un titre qui sent bon le groupe français ayant trop écouté de rock américain ou anglais. Quelque chose de passe-partout qui sonne vaguement Kinksien. Musicalement, c'est très réussi avec des guitares et des harmonies qui feront, un peu plus tard, le son et la renommée de Dolly. Emmanuelle Monet à son top même si la photo utilisée pour la vidéo ne la met pas vraiment en valeur !
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Je suis réel !

Je continue de publier des morceaux extraits du live des Dogs au Palace, le 15 Avril 1982. Ce concert a été diffusé sur Radio 7 d'où le jingle que l'on entend au tout début du morceau. Ce tître est extrait de leur album "Different" de 1979. Apparemment, c'est Jim Valley qui est l'auteur de "I'm Real" plus connu pour avoir été le guitariste de Paul Revere & the Raiders. On connaît la passion des Dogs pour le rock "garage" américain. Ce tître semble être un passage obligé pour le groupe puisqu'il est déjà présent en version live dans la compilation "Frenchrockmania" (surtout connue pour le duo Bijou/Gainsbourg). 
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