Voici, au moins, la 4e version de "So Alone", un morceau emblématique des Monkey Business. Dans cette version, on remarquera l'ajout de clavier. Pendant quelques mois, un musicien classique spécialiste du contre-point les a épaulé puis a finalement jeté l'éponge. Le son est un peu pourri mais comme toujours, l'énergie est palpable.
-
Si à l'époque nous êtions "New Wave", il nous arrivait de lorgner dans d'autres directions... Musicales. J'avais pour ma part, un gros faible pour Futura 2000 qui trainait avec les Clash. Whodini était des pionniers du genre. En 1984, ils venaient de sortir leur premier album et avaient une réputation auprès des puristes. Bizarrement ces 2 morceaux live enregistrés aux Bains-Douches sont des reprises. Ils rendent hommage à Sugarill Gang et à Grand Master Flash, deux pionniers qui ont connu un immense succès avec ces deux tîtres. Leur look est vraiment étrange mais j'imagine que c'est ce qui se faisait à l'époque. Ces deux chansons sont extraites d'un concert diffusé sur Radio 7.
-
Toujours extrait des archives de Gordon, le bassiste de Cérémonies... Voici une intéressante version du morceau emblématique de Joy Division : They Walked In Line. Tempo soutenu et presque sautillant, on est plus proche de New Order que du groupe de Ian Curtis. A qui j'en profite pour rendre hommage à travers la photo utilisée dans la vidéo. Pour l'occasion, je me suis permis de renommer ce morceau : "They walked In Line The Disco Way".
-
2e morceau de LSD extrait du même concert à Fahrenheit, le 6 Mars 1987. Cette fois-ci, il s'agit d'un morceau assez rare en live, puisqu'il provient d'un EP 4 titres intitulé "Quartier Libre". A sa sortie, J'avais trouvé cet EP très soul/rythm'n'blues. Il faudrait que je le réécoute. Ce "Grand Voyage", avec la distance, sonne comme du pur Souris Déguinglée.
-
A l'époque, avant leur succès massif, les Rita Mitsouko faisait partie de la scène alternative. Un duo d'allumés avec une chanteuse habillée avec de sacs en plastique. Je me souviens les avoir vu à un Festival, Porte de Versailles, à la même affiche que les Smiths (?) et Ghetto Blaster. Leur succès national les a, ensuite, rangé dans la section variété de qualité. Mais variété et donc plus très rock and roll. Passé leur premier maxi, j'ai un peu lâché l'affaire. Yannick, ex-Fricotin, Monkey Business et Blade, habitait pas très loin de chez le couple de musicos. Il a donc déposé dans leur boîte à lettre une exemplaire du single de Manchester. Contre toute attente, Fred Chichin l'a rappelé et s'est montré intéressé. Puis a finalement tout laissé tomber. C'était quelques semaines avant sa mort. Encore un rendez-vous manqué. Yannick a, beaucoup plus tard, joué avec leurs enfants sans que quelque chose de concret en ressorte. Les Rita Mitsouko font donc (un peu) partie de notre univers... Le morceau que je publie ici, est un live à Angers en 1985.
-
Voici quelques minutes d'expérimentation de Bibi & les Fricotins. Il s'agit d'un remix plutôt étrange de leur morceau "L'oiseau Tonnerre". Bibi, la boite à rythmes, est en avant et la guitare de Marc-André a disparu. Les Fricotins adoraient bidouiller le son et il existe des paquets d'essais du genre. La photo qui illustre la vidéo a été faite par Philippe Granperrin à Cachan.
-
Marc Seberg a eu une très grande influence sur l'ensemble des Bouloupiens. Le charisme de Philippe Pascal y est pour beaucoup comme le mélange de paroles au style plutôt classique et cette approche pop typique des années 80. J'ai déjà parlé de la rencontre d'Anzia avec Cérémonies ou bien du travail que nous avons fait avec Philippe pour le Blue Train Choir. C'est dire si, en plus de l'inspiration, nous avons interagi et échangé avec Marc Seberg. Lors d'un passage à Rennes, j'ai aussi eu le plaisir de rencontrer Matho, le batteur de MS. Voici un morceau extrait d'un live au Printemps de Bourges. Le son est plutôt mauvais et je pense que la captation a été faite par notre ami Doudou alors en mission pour les interviewer.
-
J'ai dans mes archives des paquets de morceau de David seul avec sa guitare. Depuis, ces tîtres ont évolué et pour la plupart ont été ré-enregistés avec un groupe. Il est donc difficile de mettre un nom sur chacune de ces compositions. Et celui que j'ai retenu, dans ce cas précis, n'est sans doute pas le bon. Ce minimalisme est en tout cas la meilleure configuration pour écouter ses textes, toujours très inspirés. La photo qui illustre la vidéo a été prise, aux USA, lors d'un meeting politique. David Rosane est un supporter de Bernie Sanders.
-
Je pense que vous n'aviez jamais entendu parler de Glenn Ohrlin... Jusqu'à ce post sur "Myra Belle Histoire" des Nouveaux Monstres. Je ne résiste pas à l'envie de publier cet extrait d'un documentaire appelé "Why The Cowboy sing". Ce segment parle de Glen et si vous aimez les cow-boys et parlez l'anglais, vous allez vous régaler.
-
Voici encore un morceau extrait du 3e album des Nouveaux Monstres : Rock N'importe Quoi. Ce morceau parlé raconte la vie de Belle Star, une légende de l'Ouest Américain. Marc-André, un des Nouveaux Monstres, lors d'un de ses voyages aux USA et grâce à son beau-frère, a découvert le travail de Glenn Ohrlin. Glen était peut-être un des derniers musiciens à connaître ces très anciennes chansons de cow-boy (il a écrit aussi un livre sur le sujet). Il a été fermier et a travaillé dans le circuit des rodéos. Glenn était un ami de John, le fameux beau-frère. Tout deux habitaient à Mountain View, Arkansas. Ce morceau est donc une tentative de retrouver cet esprit "pionnier" et minimal, en le mélangeant à des sonorités françaises et un peu d'électro. Bref, un hommage et un projet ambitieux pas forcément très lisible. Cette vidéo inaugure un nouvel habillage visuel réalisé pour Bouloup. La photo est, bien sûr, un portrait de Belle Star.
-
Autre morceau live de Carte de Séjour, la formation de Rachid Taha. Nous sommes au concert "S.O.S. Racisme", le Samedi 15 Juin 1985, Place de la Concorde à Paris. D'après mes infos, cet événement a réuni entre 200 000 et 500 000 spectateurs et s'est fini vers 5 heures du matin. Carte de Séjour y aurait joué un 3e morceau : Le Bleu de Marseille.
-
La Souris Déglinguée est une autre de mes passions musicales. Ici, il s'agit d'une captation au Fahrenheit (à Issy-les-Moulineaux), le 6 Mars 1987. J'hésite un peu à la publier. En effet j'ai le privilège d'avoir Tai-Luc (le chanteur) dans mes relations sur Facebook (ainsi que Muzo, le saxophoniste). J'imagine qu'ils apprécieront moyennement cette petite vidéo...
-
Il y a quelques semaines, j'ai publié une petite vidéo compilant l'ensemble despropositions de jingleréalisées par Jean-Marc pour la chaîne vidéo de Tristan :Tristan Balance. Voici, in situ (allez au générique de fin), la dite musique. Malheureusement, Tristan n'a pas persévéré et n'a publié que 3 ou 4 vidéos. Dommage, c'était vraiment bien.
-
J'ai acheté - par hasard - le premier album d'Elvis Costello lors de sa sortie. Depuis, j'écoute toujours ce génie de la pop musique. Ici, il s'agit d'une reprise du groupe de Ranking Roger : The Beat. Ranking qui est mort, il y a quelques semaines. C'est donc une sorte de double hommage que je rend ici-même. Cette reprise est disponible en version studio sur l'album "Punch the clock". Elvis a joué 34 fois en live ce morceau entre 1983 et 1985. Cette captation est donc issue de ces 34 concerts dont on trouvera le détail ici-même. Cette version est donc assez rare.
-
Voici quelques minutes d'un instrumental improvisé en répétition par les Chinaski's. Un thème très étrange du fait d'une rythmique vraiment différente. Je sais que les membres du groupe n'apprécient que très moyennement que je publie ce type de captation. Je le fait donc discrètement sans que personne ne s'en aperçoive ! La photo qui illustre la vidéo est un portrait de Charles Bukowski, le "papa" de Chinaski.
-
Antoine Lauth est un ami de Marc-André. Ils ont travaillé ensemble sur le CD "Je vote pour tes fesses". Depuis, le temps a passé et Antoine a monté le projet Cuba Libre Grupo. Il est parti plusieurs fois à Cuba pour enregistrer avec des musiciens locaux. Ce "Consomme Petit Homme" était déjà présent sur le CD réalisé avec Marc-André. Ici, c'est d'une version salsa dont il s'agit enregistrée en 2017. De plus, un clip plutôt sympa a été réalisé ce qui donne une autre dimension à cette compo. Compositon apparemment diffusée sur FIP et sur Radio Latina ! De tout cœur, j'espère qu'Antoine aura du succès avec ce projet "international" !
-
Quand Sigue Sigue Sputnick sort son "Flaunt it" en 1986, cet événement fait beaucoup de bruit. Sur ce LP, les morceaux sont entrecoupés de publicités. Une forme de provocation pour l'époque. Deplus, le leader du groupe est un ancien membre du groupe Generation X (dont faisait parti Billy Idol).Le groupe cartonne avec le tube "Love Missile F1-11". Mais dés leur 2e album, le groupe passe de mode et disparaît. Dés années après, ils se reforment mais les gars n'ont plus 20 ans et c'est franchement pathétique de les voir sur scène avec leurs déguisements steam-punk, rétro-futuristes. Voici un morceau du groupe dans une version live assez rare !
-
Voici un autre morceau extrait de shows TV de 1969. Scott Walker est au top et intreprète en live et à l'antenne un autre morceau de Jacques Brel : Le Tango Funèbre. On retrouve ce "Funeral Tango" dans "Scott 3" sorti la même année. De fait, ce morceau sera également compilé dans "Scott Walker Sings Jacques Brel" sorti en 1981 et réédité en CD en 1990.
-
A cette époque, en 1985, le Cithéa était au milieu de nulle part. Ce n'était pas encore ce haut lieu de la nuit parisienne dans cette rue Oberkmapf devenue une succession de bars et de restaurants. Cérémonies y joue en 1985 et j'ai déjà publié plusieurs morceaux de ce concert que l'on peut écouter ici et là. Dantzig est un long morceau (publié à l'origine via le fanzine Zick Addikt) qui comprend, à la fin, une longue plage instrumentale. Frank, le chanteur, en profite pour citer Marquis de Sade (et son Dantzig Twist). Le groupe est en place et cette captation est à mon sens vraiment réussie.
-
A l'époque de l'enregistrement de leur 3e album, les Nouveaux Monstres avaient pensé à sortir "Triangle Vert" en single. Quelques années après, le fantasme devient réalité même si ce n'est que sur Soundcloud. Voici, les 2 versions existantes réunies avec un visuel original signé Marc-André !
-
Depuis une pseudo reformation des Specials, on parle beaucoup d'eux. On salut un "3e album" après "Specials", "More Specials"... voici "Specials Encore". Un très bon album. C'est mal connaître l'histoire d'un groupe qui a connu plus d'une mutation. D'abord les "Specials Aka" a qui on doit l'hymne "Free Nelson Mandela" et le très stylé "In the studio", puis une synthèse de The English Beat et des Specials : the Special Beat. Ici, peu d'albums enregistrés à part quelques lives au Japon et de superbes démos. Viens le temps du come-back avec 3 albums sur le mythique label Trojan dont un avec le pionnier Desmond Dekker. Du lourd. Puis enfin, un album plutôt sympatoch' "Guilty Til Innocent". A l'occasion de la réédition des deux premiers albums, un retour d'intérêt pour cette formation, unique et multi-raciale. Là, le génial Terry Hall est revenu (peut-être pour enfin gagner sa vie), ainsi que quelques uns des membres originaux. Pourtant au même moment, d'autres membres se sont barrés. Difficile à suivre. En direct de ma collection, voici un vrai inédit du groupe soit le dub du morceau "Why" extrait de "More Specials". By the way, j'ai acheté leur premier à sa sortie, depuis je suis fan... De toutes les versions du groupe !
-
A l'époque, je me souviens d'avoir écouté plutôt amusé leur single "Viré du bahut". Ces Zéro de Conduite ont eu le privilège "d'ouvrir" pour les Clash. Ont-il vu en eux l'avenir du rock and roll ou bien un amusant phénomène d'imitation ? Quoi qu'il en soit ces prodiges ont persévéré et ont formé "Blankass" qui a connu un certain succès ou succès certain ! Voici une interview du groupe chopé à la radio !
-
Extrait du même concert auquel participait Carte de Séjour(S.O.S. Racisme - publié ici-même, il y a peu) voici Indochine. Le groupe, à l'époque, commence à être en perte de vitesse et ce "Monte Christo" ne fait rien pour arranger les choses. Cette prestation résume exactement pourquoi je n'aime pas le groupe : prétention, références foireuses et chant approximatif. Mais comme ma femme adore, je publie. Depuis, toujours pour faire plaisir, je les ai vu deux fois en concert. Si ils ont gagné en puissance musicale grâce à l'apport de musiciens "poids lourds", le chant et les paroles restent toujours aussi médiocres... Mais bon, la survie peut rendre culte et c'est exactement ce qui est arrivé à Indochine.
-
Toujours extrait du live au Chat Bleu à Bordeaux le Samedi 21 Décembre 1985, voici "le Goût du Saké" de Cérémonies. Ce tître est également présent sur leur fameux 45 Tours devenu un véritable collector.
-
L'association "SOS Racisme" (à sa tête Harlem Désir) voit le jour en 1985. L'idée est d'éradiquer le racisme et de mieux intégrer une partie de la population française issue de l'émigration. On se retrouve pour des manifestations, Baschung sort son "Touche pas à mon pote" et un concert est organisé place de la Concorde. C'est beau et c'est très naïf. Comment abolir en quelques mois ce qui est présent chez l'humain depuis des millénaires ? Quoi qu'il en soit Rachid Taha et son groupe Carte de Séjour jouent pendant ce concert et en profitent pour "inaugurer" une reprise qu'ils sortiront en maxi un an après : "Douce France" de Charles Trenet. Depuis, Rachid Taha et Alain Baschung sont - malheureusement - morts et le racisme existe toujours en France. Harlem Désir, quant à lui, est devenu Premier secrétaire du Parti socialiste. Comme quoi... La photo qui illustre la vidéo est une photo de Rachid Taha plutôt vers la fin. Rien à voir avec Carte de Séjour mais bon, elle est très réussie ! -
Voici un morceau inédit d'O.D. O.D. pour Olivier et David (Rosane), le groupe Elctro-Folk responsable d'un seul et unique album que l'on peut se procurerici. Trouvé sur le site de French Fries (leur producteur), une critique plutôt sympa de l'album par un certain Philippe :
"Il
y a dans ce disque tellement de matière que même à la dixième écoute,
on trouve encore de ces petites choses qui nous font dresser l’oreille,
nous surprennent et nous font encore espérer dans cette musique fin de
siècle. Il est de ces disques qui nous font penser à ces terres jamais
traversées et que pourtant nous trouvons familières. C’est dans ces
contrées que DJ Dave and the Olive Twist nous emmènent. Comme dans cette
ville imaginaire du film ‘Poussières d’ange’ où on retrouvait des
quartiers de Paris, les quais de Lyon et le port de Marseille, David et
Olivier ont construit ce disque en mélangeant les repères sans rien
perdre en cohérence. Essayez d’imaginer : nos deux zigotos enfermant
dans un studio de dix m2, le Velvet Underground, Nick Cave, les
Tindersticks, Scott Walker, les Stone Roses, Portishead, les Stranglers,
les Nits et même les Miles Davies et John Coltrane de la tournée
européenne de 1960 et écoutant tout ce petit monde par le trou de la
serrure. Résultat, une cacophonie ? Non, plutôt une harmonie de
différents tons qui nous emporte comme un alcool doux. Trop d’influences
pour les qualifier de suiveurs. Plutôt des érudits de la musique. Un
peu comme l’histoire du peintre japonais qui, pendant des années va
observer des fleurs pour n’en dessiner qu’une à la fin de sa vie. Ces
deux-là ont écouté les meilleurs disques pendant 20 ans pour faire
l’album le plus serein et achevé depuis longtemps. Un disque désenchanté
mais pas triste pour autant. Au contraire, le côté ludique comme dans
‘I’m in a zone’, ‘20th century ghost’ est une de ses caractéristiques.
Quant aux textes, ils sont chantés à la façon de confidences nocturnes
dans des bars, quand l’alcool et le tabac ont fait leur travail de
déconnexion avec la réalité triviale. Quand l’esprit est déchargé de la
pesanteur du corps et en rejoint d’autres à des milliers de kilomètres
de là. “ Ouija board, Ouija board would you help me because I still do
feel so horribly lonely ”."
Difficile pour notre génération, de ne pas être associée aux Clash. Ce groupe a marqué notre imaginaire et, d'une certaine façon, fait notre éducation musicale et politique. J'écoute quotidiennement du reggae grâce à Joe Strummer et à sa bande. Ici, il s'agit d'un morceau extrait de leur 2e album joué par la version 2.0 du groupe. En effet, Topper Headon a été viré du groupe pour des histoires de drogue. Mick Jones, également, a mis les bouts. Pour les puristes, ces Clash sont une vague parodie. J'ai longtemps pensé la même chose mais avec la distance, j'apprécie au final leurs guitares beaucoup plus tranchantes et bien plus punk. Cette captation a été faite pendant le Festival Elexir (en Bretagne) et je ne crois pas avoir déjà entendu ce concert ailleurs que via mes archives.
-
Retrouvé, par hasard, sur une K7 audio, voici une version du "Silence des marbres" de Cérémonies. J'ai déjà publié plusieurs versions de cette chanson : en concert, démo 24 pistes... Etc. Ici, on a sans doute à faire à une première version de ce moment de bravoure du groupe (du fait de certaines hésitations et d'une structure un peu différente). Aucune indication du lieu, ni de la date de cette captation. Après réflexion, je pense que 1985 est une forte probabilité quant au lieu, Champigny S/Marne me paraît évident (le groupe répétait à Champigny). L'image qui illustre la vidéo est extraite de "5 francs" un graphzine édité par le groupe.
-
Dernière vidéo d'une série de trois (publiés récemment), voici les Monkey Business et "Venus Fly". On imagine que le groupe répétait de futurs concerts. Ce morceau aux effluves un poil pysché était joué en fin de concert. Ici, il s'agit d'une version avec cuivres. Après plusieurs écoutes, j'ai l'impression que juste Jean-Yves est au sax (sans la présence de son comparse à la trompette). Le son est très mauvais et c'est vraiment dommage !
-