Groupe de reprises mené par mon pote Antoine Lauth, Soultime avait la classe et un super répertoire (de James Brown à Wilson Pickett). Tous habillés avec le même costard, ils savaient mettre le feu et l'ambiance. Voici un cliché réalisé pour leur dossier de presse (et leur affiche ?). Je crois qu'il existe aussi une démo... Je ne désespère pas de la publier bientôt !
David Rosane ne sera jamais une Pop star !
Il m’est difficile de parler objectivement de David Rosane
et de sa musique. David, je le suis depuis presque trente ans. Et quand
j’emploie le verbe suivre, verbe transitif direct du 3e groupe, c’est
un choix particulièrement réfléchi. Parce que je l’aime, j’ai décidé de
« suivre » David, mon aventurier préféré, dans toutes ses péripéties,
conquêtes et expéditions. Le verbe suivre désignant ici le fait
d’approuver et de soutenir quelqu’un dans son action. J’avoue
honteusement et par comparaison, ma peur de la prise de risque et mon
conformisme petit bourgeois typiquement parisien.
Américain d’origine, il a préféré la Vie (avec un v majuscule) à
l’inertie académique, il s’est donc construit (et éduqué) sur le
terrain, à la rencontre de ses passions. Il est devenu cet homme d’une
incroyable complexité. David Rosane est (entre autres)
journaliste, écrivain, agriculteur, ambassadeur, cuisinier,
universitaire, formateur, ornithologue… Mais aussi activiste et
musicien. Il est donc difficile de le résumer. Chacune de ses facettes
forment un tout, multiple et passionnant, qui lui permet, au final,
d’écrire et d’interpréter de très belles chansons accessibles au plus
grand nombre… Paradoxalement pour notre plaisir personnel et égoïste. Le
Book of Zoo en est la vivante démonstration. Au final,
même si ce n’est que de la musique, celle de David fait partie
intégralement de ce qu’il est, elle n’est donc pas à prendre à la
légère.
Notons qu’aimer David n’est pas qu’un suivi, c’est aussi un combat.
Il faut savoir lui répondre lors de débats endiablés et argumenter si
possible intelligemment (malheureusement, souvent en anglais). Je
reconnais mes limites quant au Disputatio qu’il pratique avec maestria.
Je ne fais pas le poids. Il faut aussi désamorcer ses défenses
naturelles et passer pardessus sa timidité (qui peut être prise pour de
l’arrogance). Mais c’est juste une vague similitude car, dépassé tous
ces obstacles, il nous reste le David, mélange d’intelligence, de
gentillesse, d’écoute et de générosité. Cette générosité je l’ai
retrouvé aussi à l’écoute de ce « Livre du Zoo ».
Au départ, nous avions tous rêvé pour lui d’une réussite musicale
proche de l’image d’Épinal. Nous, j’entends son fan club. Moi surtout,
quand, il y a 10 ans, je lui ai demandé de reprendre sa guitare (cette
incitation est aujourd’hui ma fierté). Top 50, coke et groupies, pognon,
sexe et gros seins, passage à Taratata en duo avec Julien Doré et pour
finir la couverture de Rock & folk. Mais c’est sans compter sur ce
qu’il l’anime vraiment, l’intime nécessité de communiquer et de faire
« gagner » ses idées. Car David est un homme qui choisit sa voie et ses
combats. Personne ne décide à sa place, il en va de même avec sa
musique. Une fois encore, David est un activiste. David se bat pour ses
idées et s’en est presque fatiguant tant son énergie demeure constante
et intacte au fil du temps. Croire dans le possible des révolutions est,
chez lui, le symptôme d’un optimisme inattendu à l’écoute de ses
chansons les plus tristes. David est un vrai optimiste qui trouvera un
moyen de sauver ce que nous sommes et ce qui nous entoure : la Terre, le
règne Animal, la Nature et les Éléments et plus généralement notre
humanité. Une autre qualité que j’admire (aussi) chez lui et que l’on
retrouve aussi dans ses chansons. Cette ambition sans limite est
magnifiquement impossible. Moi, je me bats plus volontiers pour le juste
remboursement de mes notes de frais en fin de mois.
Non, David ne sera jamais une pop star. Une
fois cette absence de folklore rock and roll acceptée et dépassée, il
me reste ce nouvel album et les messages qu’il nous transmet. En tant
que français de souche, il m’est parfois difficile de rentrer dans les
nuances de ses mots en anglais. Souvent, une explication de texte
s’impose. Cet assemblage de 14 chansons ne déroge pas à cette vieille
habitude car il est constitué d’une multitude de nuances qu’il me faudra
décrypter pour me rapprocher un peu plus du cœur de sa compréhension.
Pour ce 9e album, j’ai cependant l’impression que son vocabulaire s’est
simplifié sans perdre de sa complexité polysémique, un terme savant qui
fait bien et que je sors de temps en temps.
Chaque nouvelle chanson de David participe à un ensemble bien plus
vaste (j’ai presque envie de parler d’un « corpus » pour faire à la
façon d’un critique musicale aux Inrockuptibles) qui nous apparaîtra
comme un tout, bien au-delà de ce Book of Zoo… Si nous
tenons jusque-là, à la fin de l’Histoire. A n’en pas douter, David
construit une œuvre et le Temps nous en fera la démonstration. J’espère
simplement la partager (cette œuvre), dès aujourd’hui, avec le plus
grand nombre. Car David mérite d’être écouté et plutôt de son vivant, si
possible.
Dans le Book of Zoo, sa dernière aventure musicale,
David a laissé de côté ses vieux démons alternatifs (forcément datés)
pour se concentrer sur ce qui me touche et semble être l’essentiel : ses
chansons. Le reste, en vérité, on n’en a rien à branler. Ces 14 titres
pourront être joués au ukulélé ou par un orchestre symphonique. Elles
garderont leur intégrité et leur beauté. Voici donc 14 morceaux en
anglais, enregistrés aux USA, là d’où il vient (aussi). Même si par bien
des côtés, David est le plus français de tous nos résidents américains.
Je le sais parce que je l’ai vu refaire le Monde à grands coups de
ballons de rouge, accroché au comptoir d’un café, empruntant
parfaitement l’accent parisien.
Une instrumentation claire et précise, des guitares qui ne se cachent
pas derrière de la distorsion, une voix simple et chaude mise en avant.
Un timbre particulier que je reconnaîtrai entre 1000. Et surtout ses
mélodies. Celles qui me font remercier de compter David parmi mes amis.
Celles que je fais écouter – en soirée - en soulignant mon lien de
parenté avec cet étrange leader des Zookeepers qui me
parle en anglais mais à qui je réponds en français. Car, oui, David est
mon filleul et même si nous ne croyons pas vraiment en Dieu en tant
qu’entité barbue et bienveillante, nous savons tous les deux que ce que
nous avons créé nous survivra. C’est là le seul vrai miracle chrétien.
Survivront donc, nos enfants, ces chansons, quelques mots bien choisis
et peut-être un bout de nos rêves passés, présents et futurs.
D’ailleurs, «Dans les mots des chansons (…) Je te survivrai » a prédit Didier Barbelivien dans le fameux « Je te survivrai » interprétée par Jean-Pierre François.
Dès la première écoute, certains titres se sont spontanément alignés
avec mes goûts et ma grammaire musicale : réverb des grands espaces,
chœurs de filles qui réveillent la libido, arpèges pop, arrangements
légèrement datés, voix tremblante et émue de celui qui intériorise quand
il chante. Alors, par facilité, j’aurais pu citer 2 ou 3 références
musicales universelles, pour contextualiser ce nouvel album des
Zookeepers et provoquer plus rapidement l’adhésion. J’ai d’abord pensé à
Dion DiMucci (période Folk Blues) ou même à Richie Havens (sur son
premier album « Mixed bags »), mais les deux sont franchement loin.
Finalement, rien ni personne ne me vient à l’esprit. Ce dernier disque
ressemble donc à un très bon disque de David Rosane & les Zookeepers.
Notons, au passage, une petite particularité de la tracklist du Book of Zoo,
certaines de ces nouvelles chansons nécessitent de vivre avec. Ce sont
d’ailleurs celles-ci qui sont en train de me changer. Car toutes les
bonnes chansons me transforment et redéfinissent le monde qui m’entoure.
C’est comme ça que je sais qu’elles sont bonnes. Seuls regrets mais qui
n’engagent que moi, une joliesse et une sophistication sonore, à mon
sens, inutile. En vérité, je rêve toujours d’un David planté derrière le
micro tête de mort (un Shure 5575 LE) des studios Sun à Memphis. Le
linoleum sous ses Palladium, debout dans ces 20 mètres carrés quasi vide
et désaffectés. L’ombre des « grands » du blues et du rockabilly lui
donnerait un relief total : l’authenticité fondatrice des pionniers. Je
rêve d’un David sans son sempiternel galurin (qui a tendance à lui faire
de l’ombre), direct et brut de décoffrage. C’est peut-être la naissance
d’un nouveau projet de crowdfounding ou d’une pétition en ligne,
contestation oblige. Rien n’est perdu à ce niveau et peut-être qu’un
jour…
Dans cet album, David s’imagine cow-boy sur le retour et se pose les
questions de ceux qui font le bilan : « WTF (went wong) ? ». A quel
moment ça a merdé ? Il se promène parfois dans cette ville polluée mais
qu’on aime quand même. Il redevient cet enfant qu’il n’a jamais cessé
d’être, cet amoureux professionnel qui n’a de cesse de retomber
(amoureux), cet homme qui préfère en finir, cet autre homme qui se bat
au quotidien et qui redoute le jugement divin. Cet homme, aussi, touché
par la Beauté et la complexité de l’Univers et qui de ce fait ne peut
que croire en Dieu ! Car comme disait Einstein : « Dieu ne joue pas aux
dés ». Bref, David (dans ses chansons) est un peu schizophrène et nous
dévoile des bouts de son intimité et de ses paysages intérieurs, de ses
angoisses, de sa complexité, de sa poésie et de ses rêves. Plein
d’autres choses encore, des nuances que je vous laisse découvrir par
vous-même - pour peu que ce long texte vous en ait donné l’envie - et
que vous soyez parvenu jusqu’à cette conclusion en forme de prédiction :
Vous lirez dans le « Book of Zoo » comme dans un livre ouvert car cet album de DavId Rosane et les Zookeepers est un très bon livre, beau et accessible à tous. Il suffit de l'écouter pour l'entendre.
Boulogne, Mai 2018
PS : Vous pourrez écouter et acheter en précommande « Book Of Zoo » de David Rosane & The Zookeepers ici-même. Tous les bénéfices seront reversés au profit des bibliothèques publiques du Vermont. David et ses Zookeepers,
pour soutenir activement cet accès au savoir par le plus grand nombre,
seront en tournée tout l’été dans ces dites bibliothèques. Si le sujet
vous intéresse et si vous passez par le Vermont, vous trouverez, sur
leur profil Bandcamp, du groupe tous les détails !
OFFICIAL BIOGRAPHY of ZOO
The Zookeepers are a multinational collective of musical heavy
hitters in full flagrant creative collaboration with Post-Punk Power and
Protest rocker David Rosane, who also has a gentle side. Dave used to
work as a full-time native american activist and field biologist in
South America. Core Zookeepers are Bradford, Vermont-based Indie
Jazz-wave duo Don Sinclair and Jennifer Grossi, both community activists
and music teachers by day.
Zookeeper music might be best described as INDEPENDENT folk rock with
a post-punk Americana bent, particles of Goth & a glaze of Pop.
Influences include, off the cuff, Joy Division, Echo and the Bunnymen,
Bob Mould, ABBA, Neil Diamond, Jazz stuff that Don listens to, The
Velvet Underground, The Doors, Nick Cave, almost anything from Mo-Town,
The Gun Club, Neil Young, the Boss and yes, even the Rolling fucking
Stones.
CONTACT: DavidRosane@gmail.com
*This is Dave's 9th album as a singer-songwriter/band member:
Previous work:
Milk & Alcohol - as Stereo Child (reissue forthcoming)
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Photo Fabrice Plas
Le Couack des Nouveaux Monstres
Extrait du premier CD des Monstres, voici une réinterprétation d'un titre du Young Holt Trio : "Wack Wack". Façon Nouveaux Monstres, cela donne "Couack Couack" et c'est le klaxon du vélo de Jean-Yves qui a été samplé... Un klaxon en forme de canard, bien sûr ! D'où le titre... La pochette qui illustre la vidéo est la pochette du dit premier CD et est l'œuvre de Marc-André. Dans le casque de l'astronaute, on peut apercevoir le reflet d'Elvis !
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Rebel Rebel
Voilà une double (bonne) surprise. D'abord, découvrir une reprise par Cérémonies de David Bowie que je ne connaissais pas et dont je n'avais jamais entendu parler. "Rebel Rebel" date de 1974 est extrait de Diamond Dogs. Ensuite, avoir retrouvé l'affiche du concert des 120 Nuits (qui illustre la vidéo).
D'après Wikipedia : "Les 120 Nuits est le nom d'une boîte de nuit de Paris, située 8, boulevard de Strasbourg, qui a ouvert du 21 septembre 1983 à juin 1984, à raison de 3 soirs par semaine pendant 40 semaines, d'où son nom". Et d'ajouter pour compléter : "De nombreux concerts y ont été organisés, notamment ceux de Jah Wobble, Cabaret Voltaire, les Comateens... Etc. On y croisait fréquemment Alain Pacadis, Fifi Chachnil, Philippe Krootchey, Jacno, Theo Hakola, Ricardo Mosner ou encore Jérôme Mesnager qui y a exposé ses œuvres. L'une des scènes du film d'Éric Rohmer, Les Nuits de la pleine lune y a également été tournée".
Ce concert "performance" est un très bon souvenir. Alors que Cérémonies jouait, l'artiste - et notre prof. d'art plastique de l'époque - Didier Puig Segur (qui apparait dans le film Boy Meets Girls) était dans une chaise roulante et fouettait 2 assistantes pour qu'elles peignent à la bombe et aux pinceaux des capots de voitures accrochées à la scène ! Ceux qui y étaient s'en souviennent forcement ! Merci à Gordon pour ces documents...
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Mais qui est Keyser Söze ?
Merci à Gordon de m'avoir transmis ces documents d'une très grande rareté. Voici Keyser Söze, une autre formation où Franck War est au chant, Gordon à la basse et Pascal Rescoussié aux claviers. Ici on est dans un mélange de techno et de rock et les paroles sont sans équivoque ! De quand date cette formation ? J'imagine quelque part entre le Sexe des Anges et les Chinaski's (j'ai déjà publié quelques titres des 2 groupes) ! Pour être tout à fait honnête, j'avais complétement oublié cette formation et je ne crois pas les avoir vu en live. Bref, c'est assez confus mais quel plaisir de réécouter !
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Démo et fantaisie
Voici une petite démo de Marc-André enregistrée au début des années 80 où par la magie du re-re, il joue de tous les instruments. C'est un peu faux et résonne bizarrement, mais l'esprit swing est là ! Le dessin qui illustre la vidéo est aussi l'œuvre de Marc-André. Il extrait du diaporama que projetait les Fricotins lors de leurs concerts !
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Quelques photos (oubliées) des Fricotins
Retrouvées au fin fond d'une boite poussiéreuses, voici quelques photos de Bibi et les Fricotins à Cachan. Ce sont, des négatifs que j'ai un peu cleané et passés en positif !
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Musique pour Nathalie
Voilà un projet de musique illustrative réalisée par Jean-Marc pour une vidéo d'entreprise (la DRH de cette dite entreprise s'appelle Nathalie). Jean-Marc est le groupe de Jean-Yves et Marc-André, ils nous dévoilent ici un bout de leur nouveau répertoire ! On attend la suite avec impatience...
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Ils marchent en ligne
Voici une des rares reprises faites par le groupe Cérémonies. Il s'agit de "Walked In Line" de Joy Division. Cette chanson date de 1981 et est extraite de l'album "Still" :
"All dressed in uniforms so fine
They drank and killed to pass the time
Wearing the shame of all their crimes
With measured steps, they walked in line"
They drank and killed to pass the time
Wearing the shame of all their crimes
With measured steps, they walked in line"
C'est par leur version que j'ai découvert ce groupe immense. Merci à Cérémonies. Aujourd'hui, Joy Division est devenu un ultra classique... Mais à l'époque, c'était un peu différent. Leur version est extraite d'un live au Parling 2000 dont j'ai déjà publié 2 extraits. L'image qui illustre la vidéo est un montage extrait du fanzine "5 francs" réalisé à l'occasion de la sortie de leur 45 tours. Comme son nom l'indique, le fanzine coûtait 5 Francs et a été réalisé avec l'un des tous premiers Macintosh.
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Les Etc's live au Pancrace
Autre document ultra rare, voici les Etc's live au restaurant le Pancrace à Boulogne. Du temps où Franck, Pascal et toute la bande travaillait chez Bleu Petrol, à Boulogne, leur repaire s'appelait le Pancrace et se trouvait rue d'Aguesseau pas très loin du studio. Ici dans ce petit film, on retrouve les Etc's lors d'une fête de la musique, interprétant (pour ce que j'ai reconnu) "Late Nite City" des Comateens, "Choci Loni" des Young Marble Giants, une compo originale "Traci Lords", "Les papillons noirs" de Gainsbourg et en rappel "Walk on the Wild Side" de Lou Reed avec Franck War en guest star. Si on est observateur, on reconnaîtra certaines "figures" du Pancacre, son patron, la sœur du patron... Etc. Une vraie tranche de vie que je situerai aux alentours de 1990. Mais là, je ne suis vraiment plus très sûr !
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Dynamite the world
Voici un enregistrement (sans doute inédit) de David Rosane datant de Décembre 2008 et réalisé dans les studios Basement. David tout seul à la guitare dans le plus pur dénuement. C'est comme ça que je l'ai toujours imaginé, surtout quand je l'ai supplié de reprendre sa guitare. C'est donc mon "private" David que je partage avec vous aujourd'hui ! Mon disque intime que j'écoute de temps en temps. Un luxe de collectionneur. Si le gars David tombe sur ce titre, je pense qu'il me maudira jusqu'à la 5e génération. Pas grave, ici il est question de grâce et de vérité.
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Universatile
Voici ce qui reste d'un projet de site web sur lequel le studio i-breed a longuement travaillé. La musique originale est signée Nouveaux Monstres (c'est une maquette) et les images animées sont l'œuvre de Tristan Tabanou. Voici, extrait de la note d'intention, un début d'explication :
"Lorsqu’un
designer intervient et ce quel que soit le projet, il doit d’abord s’imprégner
d’une nouvelle culture d’entreprise, de nouveaux objectifs de création. C’est
tout un univers visuel qu’il doit ensuite créer (parfois en partant de rien). À la façon d’un décorateur de théâtre ou de
film, il « construit » un décors graphique qui va permettre la mise
en scène des objectifs de communication, des attentes du client, des
fonctionnalités (dans le cas de sites ou du design d’application) ou des
messages à faire passer. Partant de
cette image, universatile se veut une visualisation imagée et symbolique de la
planète i-breed, planète constituée d’une suite de décors illustrants à la fois
le contenu du site comme le savoir-faire créatif de la société. Ces décors
sont peut-être ce qui reste des missions et des références d’i-breed." Je crois me souvenir que Microsoft a financé une partie de ce projet !
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Lyar
Musicien créatif et toujours en quête d'expérimentation, Yannick L est prompt à dégainer guitare et basse. Voici Lyar, une de ses dernières formations. Ce groupe est un trio (le format rock idéal) : un chanteur/batteur, l'inoxydable Leslie à la basse et Yannick... A la basse aussi. Du gros son, une belle énergie... Bientôt en concert près de chez vous !
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Véronique A.
Aujourd'hui, une petite vidéo un peu différente... Voici Véronique Agranier (ex chanteuse des Etc's) qui a fait de l'astrologie son métier et sa mission. Véronique pratique un type d'Astrologie particulière puisqu'elle est holistique et sofianique. Ceci n'expliquant absolument pas cela. Mais ce témoignage est touchant et il me semble que c'est un juste retour des choses !
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Les Etc's
Voici un document ultra-rare, exhumé il y a peu... Il s'agit d'extraits d'un concert des Etc's à la campagne (à la Picardière, chez Edouard). Par contre, je ne me souviens ni de l'année, ni du mois (probablement en Juin). Les Etc's sont en fait Bibi & les Fricotins + Véronique au chant. La sympathique Véro ne chantait pas très bien (il faut dire qu'elle avait beaucoup de mal à s'entendre pendant les concerts) mais le cœur y était ! Depuis et aux dernières nouvelles, Véronique est devenue Astrologue !
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Hommage à Johnny
Voici une reprise par les Nouveaux Monstres de Johnny : "Mon Vieux Copain". Les Monstres ont choisi ce titre pour la thématique mais surtout parce que cette chanson est une des rares compositions de Johnny (lui-même). Franck War est au chant et c'est plutôt courageux parce qu'il n'est pas particulièrement fan de la star française !
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Souvenirs de Nous
Voici un titre de Cérémonie enregistré en 16 pistes avec Dgé à la guitare. Sur la photo qui illustre le clip, on reconnaît Gordon en pleine action (la photo est de Pascale de Laubier).
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Say No
J'ai retrouvé dans mes archives une séance de photos pour le groupe Say No. Dans ce groupe, Yannick (Fricotins, Monkey Business, Blade, Massonic Hands... Etc.), Leslie et un troisième larron dont je ne me souviens pas du nom. Le groupe a fait quelques live puis a explosé. Le chanteur étant trop approximatif même si plein d'énergie. Cette séance photo date de Septembre 2011 !
Marche du côté sauvage
Les Fricotins (quand ils le pouvaient) finissaient leurs concerts par "Walk on the Wild Side", le classique de Lou Reed. Pour l'occasion, Franck War (Cérémonies, à l'époque) se joignait à eux ! Ici, il s'agit d'une captation lors d'une répétition. La photo qui illustre la vidéo a été prise lors du festival "Bleu Petrol" à l'Espace Culturel Gervaisien. Ce mini festival a permis aux trois ou quatre groupes liés au studio de design Bleu Petrol (ou travaillaient Pascal, Franck, Dgé et Marc-André) de jouer ensemble, soit les Fricotins, Cérémonies et le groupe de Dgé et Manou (dont je ne me souviens plus du nom).
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L'été 73
Voici "L'été 73", un instrumental de Bibi & les Fricotins. Je crois que ce morceau devait servir d'intro. à un autre, mais je ne suis plus très sûr ! Sur la photo qui illustre la vidéo, on reconnaît Pascal en pleine action lors d'un concert du groupe à Cachan à l'École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l'industrie (ESTP, quoi !). Cette école avait une sorte de bar/lieu de rassemblement, sur leur campus, que les élèves avaient eux-mêmes décorés (on aperçoit quelques peintures au plafond). Antoine s'était joint à eux pour un ou deux morceaux !
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Les Chinaski's
Voici un des groupes post-cérémonies de Franck War. On y retrouve Gordon (basse), Pascal (claviers), Harold, Dgé (guitare) et Christophe (batterie). Je suis particulièrement heureux de publier ce titre car, malheureusement, je n'ai rien gardé des Chinsaki's. Dommage. Leur son était pop et clair et leurs prestations scéniques toujours sympas. Ce "son" est, à mon sens, celui de l'époque et il n'est pas sans me rappeler certaines chansons du tout premier album d'Etienne Daho avec quelque chose d'un peu plus mature dans les paroles. La pochette de la K7 est plutôt réussie et signée Bleu Petrol/Franck. Bien sûr, Henry Chinaski est un des personnages récurrents (et double assumé) du génial Charles Buskowski. On le retrouve dans le cultissime "Barfly" ! Voici Lucie, une australopithèque pilier de bar... Et merci à Franck de m'avoir fourni ces inestimables archives !
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Cérémonies façon Peter Klasen
Voici un visuel réalisé par Franck War aux débuts du groupe Cérémonies. On ressent une grosse influence Klasen mais c'est très réussi surtout qu'à l'époque, il n'y avait ni infographie, ni ordinateur !
Les Chiens de l'Enfer
D'où provient ce tître de Cérémonies ? Aucun souvenir... Seul le titre évoque notre passion d'alors pour Charles Bukowski et notamment son recueil de poèmes : "L'Amour est un Chien de l'Enfer". Belle énergie communicatrice qui me fait réaliser que "Les Chiens de l'Enfer" est définitivement mon morceau préféré du groupe. La photo qui illustre la vidéo a été prise au Parking 2000 par Pascale de Laubier. Séquence émotion à la réécoute !
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Rock n'importe quoi (11 ans après)
Il aura fallu juste 11 ans pour finir ce que les Nouveaux Monstres avaient commencé... A savoir le clip pour promouvoir leur nouveau CD qui finalement n'est pas vraiment sorti. Les images "brutes" de ce "Rock n'importe quoi" existaient, ne manquait plus qu'un brin de montage et de traitement graphique. Après de nombreuses heures de travail, voici donc, façon Nouveaux Montres, le seul et unique clip officiel et existant du groupe !
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Improvisation façon Monkeys
Voici un tître des Monkey Business retrouvé dans mes archives ou plus exactement un bout de répet'... qui date des débuts du groupe. Marc-André est au synthé et Bruno a déjà rejoint le groupe. Très léger, voir joli. Loin des aspirations bruitistes du groupe sur scène ! L'image qui illustre le clip provient de le même session dans les frigos parisiens.
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Venus Fly
Toujours extrait de la dernière démo des Monkey Business, voici "Venus Fly". Ce titre énergique manque un peu de... quelque chose. La photo qui accompagne la vidéo a été prise à l'occasion du tournage d'un clip dont j'ai perdu la trace (mais bien avant ce "Venus Fly")... Mais qui sait, en fouillant bien ! Pendant une journée, les Monkeys avaient tourné (en un plan séquence) dans les fameux "frigos" (Quai de la Gare ?), un endroit génial où l'on croisait des tas d'artistes et des musiciens. Quelques mois avant, j'avais également assisté à un concert de la Mano Negra au même endroit !
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