Il y a quelques jours, une bonne âme a publié sur YouTube une vidéo des Rois Fainéants à Côte d'Amour le 20 Février 1985 ! Deux tîtres "live"comme on les aime...
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Iridaes, entre clacissime et modernité !
Une de mes passions musicales a pour nom "l'Outsider Music". Pour faire court, ce domaine rassemble tous les musiciens et artistes qui ont la capacité de s'inventer en dehors de tous repères possibles, des modes ou de courants musicaux existants. Ces artistes "entendent" quelque chose qu'ils sont seuls à entendre et souhaitent le partager avec le monde entier. C'est Florence Foster Jenkins qui s'imagine chanteuse d'opéra ou les Shaggs qui enregistrent un album après un mois de répétition, sans jamais avoir pratiqué un instrument de musique. Ces deux-là sont devenus des super stars du genre. Pour creuser le sujet, je vous invite à lire "Songs in the key of Z" et d'écouter les CD qui vont avec. Bref, c'est de l'Art Brut version musicale.
Dans mon entourage, j'ai fait la connaissance d'une possible incarnation de cet "Outsider Music". Il ne s'agit pas pour moi de me moquer facilement mais plutôt de rendre une sorte d'hommage à ce "loner" de la musique instrumentale. Un jeune homme d'une trentaine d'années nommé Iridaes (on comprendra que ce n'est pas son nom de naissance). Iridaes a, à son actif, 4 albums de musique instrumentale qui se situe quelque part entre la musique new-age, le néo-classique, Tangerine Dream, Saint-Preux, Richard Clayderman ou Jean-Michel Jarre (des années 70). 4 albums auto-produits, bien sûr.
Ce qui est impressionnant c'est la construction de ce personnage... Entre mage mystique (on pense à un cousin de Raël) et musicien multi-instrumentiste de génie des années 70 avec le nom qui va bien. Son flyer le définie de cette façon : "Iridaes fait partie des musiciens qui considèrent le synthétiseur comme un véritable instrument. A tel point que la nature électronique de celui-ci finit par s'effacer pour laisser place à l'essentiel : la musique. Elégante, mélodieuse et raffinée, elle virevolte entre classicisme et modernité, nimbée d'un halo délicieusement irréel. Pianos, cordes, tintements cristallins, nappes éthérées... Les sonorités alternent et s'entremêlent au fil d'un discographie déjà riche de 4 albums. S'ajoute à celà un goût prononcé pour l'élégance et la fantaisie visuelle. Loin de se limiter à la musique, Iridaes développe un véritable univers. Un voyage au bout du rêve, où se déclinent toutes les nuances de l'émotion." Je ne vais pas faire une explication de texte mais le style de cet écrit colle complétement avec le contenu musical et dévoile un fantasme d'universalité qui est loin de coïncider avec le genre musical. Il s'excuse aussi de jouer du synthétiseur qui par le Passé n'était pas considéré comme un véritable instrument. Ceci dit, aujourd'hui, n'importe quel artiste de variété sort son DX7 reconditionné pour faire "branché" et à la mode. Sa "fantaisie visuelle" (c'est lui qui fait tout même les visuels) est également utlra-datée et peut évoquer au mieux Era et au pire la cover d'un album de Klaus Schulze sorti dans les années 70. Ce qui est étonnant et qui le fait rentrer directement dans la catégorie "Outsider Music" c'est le fait qu'il ne se pause pas la question du professionnalisme de ses réalisations. Il se considère d'abord comme un artiste et en temps que tel (et du fait de "son art"), il n'a pas vraiment besoin de l'apport d'autres : musiciens, producteurs, ingé. sons... Etc. D'ailleurs, il le dit dans son flyer "Iridaes fait partie des musiciens". Il n'est pas un amateur éclairé, non un "musicien", un pro. quoi. Ce qui me fait dire - aussi - qu'un concert d'Iridaes doit furieusement ressembler à ses CD.
Ce qui est également très beau chez Iridaes, c'est qu'il n'y a aucun second degré et que ce texte de présentation (par exemple) est à prendre pour argent comptant. En fait, il nous arrive tout droit du Passé via une faille spacio-temporelle. Ce qui est touchant enfin, c'est le peu d'intérêt que l'on porte à sa musique que je crois pourtant authentique. Pour s'en convaincre, il suffit de regarder le nombre de vues sur ses vidéos YouTube. Pire que celles que je publie pour mon blog. C'est tout dire. Pour en savoir plus, on peut aller sur son site web ou bien ici-même. En complément, la vidéo qui va bien avec un Iridaes en chemisette ce qui force le respect !
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Elvis, hardcore !
Aimer Elvis Presley, c'est rentrer dans la secte secrète des adorateurs de ce dieu du Rock and Roll. On admire autant sa musique que sa vie qui résume si bien l'American Way Of Life. Né dans la misère, notre homme a pu s'élever socialement grâce à un de ses dons : la Musique. Il a beaucoup travaillé et a gagné pas mal d'argent. Bien sûr, on oublie de préciser qu'il n'a jamais reçu de vraie éducation même quand il en a eu les moyens... Et que l'argent sans un certain goût né du savoir peut déboucher sur... Elvis. Aux USA, il est toujours l'objet d'un culte et il n'est pas rare de trouver dans certains magasins un rayon dédié qui offre la possibilité d'acheter des salières, des montres, des portefeuilles, des... Etc. Elvis. Sa discographie n'est globalement qu'un assemblage de singles, plus ou moins bien fait. Parfois, la distance donne une certaine grâce à ces assemblages. C'est le cas de ses 2 ou 3 premiers LP. Parfois, ces assemblages sont plutôt calamiteux. Je pense à tous les"My way" et autres "Elvis Now !" plutôt dispensables. Mais tout ceci ne sont que des détails, car au final, reste la voix et la fulgurance des certaines de ses chansons. J'avoue aimer Elvis depuis toujours et je me suis demandé quel pouvait être l'absolu du collectionneur quand on aimait le King. Je suis arrivé à la conclusion que l'on était prêt à collectionner jusqu'à son message de répondeur. Et c'est justement ce que j'offre à mes gentils lecteurs. On peut trouver ce message sur 2 ou 3 bootlegs et même sur YouTube. Mais la version que je publie aujourd'hui, je l'ai édité moi-même avec tout le soin (et l'amour) possible.
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Les Désaxés, toujours !
Voici 2 morceaux que les Désaxés semblaient enchainer quand ils les jouaient en live. Ces 2 morceaux apparaissent également sur leur unique album sorti sur Réflexes. Le premier tître est un original du groupe, le second est une reprise de Françoise Hardy datant de 1964. Ce "Je Veux Qu'il Revienne" est lui-même une adaptation en français d'un succès du groupe anglais : les Vernon Girls. C'est Charles Blackwell qui est à l'auteur de ce tube. Un producteur bien connu qui a fricoté avec Joe Meeks au début de sa carrière. Ce concert a été diffusé sur RFI, ondes courtes, à l'époque. D'où le son un peu pourri...
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The Jivin' Instructors (3)
Voici un 2e morceau extrait de la démo des Jivin' Instructors. Ce coup-ci, on est dans une approche un peu plus rock and roll ! Même si globalement, le son néo-swing est toujours bien présent. Cette démo a été enregistrée en live au Albany Empire à Londres en 1986. Sur la photo qui illustre la vidéo, on aperçoit à droite un homme chauve avec des lunettes noires. Je me souviens clairement de lui parce que, lors de leur concert, il était en col roulé et en costard, avec une grande chaine autour du cou. Ce look beatnick m'avait fait une forte impression.
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Et voici Deluxe
Deluxe est présent sur la compilation "Fireball" d'où j'ai déjà extrait deux tîtres des Stunners et deux tîtres de François Alysse. Ce "I Need A Girl" est dans une veine garage comme on les aime : crad' et bien enlevée. Je me suis donc intéressé à Deluxe. Je n'ai trouvé que très peu d'infos sur eux. Ils sont originaires de Caen (d'où leur présence sur "Fireball"). Ils ont sorti, un peu après cette compil', un single deux tîtres autoproduit. On trouve également sur Facebook, un groupe qui leur ai dédié parce qu'ils ont sorti un album, il y a quatre ans... Toujours autoproduit (et dans la même veine, écoutable sur bandcamp). J'en ai profité pour piquer le visuel qui illustre la vidéo. Le chanteur s'appelle "Agranier" comme la chanteuse des Etc's. Je me souviens qu'à l'époque Véronique (Agranier) m'avait dit que l'un de ses cousins faisait du garage et avait sorti un single. Bref, le Monde est petit même si je ne pense pas que c'est le cousin en question... Voici les Deluxe !
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Un différent "moi"
Je continue de publier des morceaux extraits du live des Dogs au Palace, le 15 Avril 1982. Ce concert a été diffusé sur Radio 7 d'où le jingle que l'on entend au tout début du morceau."A Different Me" est un autre classique du groupe composé, cette fois-ci, par leur frontman Dominique Laboubée. On le trouve sur leur LP "Different" de 1984 sorti sur Closer. La photo qui illustre la vidéo date d'avant ce concert puisqu'il manque leur lead guitariste : Tony Truant. Tony a, depuis, fait une carrière en solo et surtout rejoint les rangs de Wampas.
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S. N.
Allez, je ne résiste pas à l'envie de republier un autre morceau extrait de l'album auto-produit du Baron Rouge. Ce "S. N." est un peu plus mélodieux mais reste dans l'approche de ce groupe catalogué, je ne sais pas pourquoi, comme "punk". En fait, j'aime bien leur côté "à l'arrache" et un peu brouillon.
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Le 2e trailer de Jean-Marc
On a beau avoir passé les 50 ans, on n'en reste pas moins un passionné de musique. Après avoir œuvré dans les Nouveaux Monstres, Marc-André et Jean-Yves, soit "Jean-Marc" ont décidé de s'axer principalement sur le live. Ils travaillent depuis quelques années sur un nouveau répertoire jouable en live et constitué de reprises : Beastie Boys, Devo, Pil ou... Nouveaux Monstres. Dans ce trailer c'est un bout de "Who Do You Love ?" (Bo Didley) que l'on découvre sans le chant. Brigitte Marjo étant basée à Rennes, elle ne répète avec eux que de temps en temps. Ils ont pour projet d'enregistrer une démo avant de tourner un peu !
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Dernière démo 87/88 de Seaton
Et de 4 ! Voici la dernière démo de Seaton extraite du sobrement intitulé "Studio 87/88". Je sais que mon ami David (chanteur du groupe) déteste que l'on compare mais dans ce cas précis, la guitare de Toto Ringelstein m'a fortement fait penser au glam gothique de Bauhaus. Peut-être le son, peut-être la façon de jouer, anyway... Ici s'achève la comparaison. Encore une fois, ce "Yellow Fever" est intense et habité, laissant un peu de côté la qualité de la mélodie. Qu'importe. On sent la fièvre monter ! Comme toujours, la photo qui illustre la vidéo est l'œuvre de Fabrice Plas.
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Le retour des Specials
Le 27 Septembre 2011, les Specials jouent à L'Olympia à Paris. Un concert que j'attends depuis... euh... l'achat de leur premier album en 1979. Plus de 30 ans d'attente donc et hop, le groupe black and white est de retour, presque sans une ride (non j'rigole !). Sans Jerry Dammers mais avec Terry Hall ! Un Terry Hall un poil cynique sur scène. Il semble être là presque à contre-cœur. On se dit que ses multiples formations post-Specials ne lui ont pas apporté le succès qu'il attendait et méritait légitimement. Il est peut-être temps de trouver l'apaisement et de pouvoir payer ses impôts. Terry est un poil bouffi mais il chante avec une vraie intensité. Bref, pour moi, c'est le bonheur des retrouvailles.
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Avant Dolly, Dolly & Co
2e extrait du mini album de Dolly & Co (formation pré-Dolly) voici "Really Got You". Un titre qui sent bon le groupe français ayant trop écouté de rock américain ou anglais. Quelque chose de passe-partout qui sonne vaguement Kinksien. Musicalement, c'est très réussi avec des guitares et des harmonies qui feront, un peu plus tard, le son et la renommée de Dolly. Emmanuelle Monet à son top même si la photo utilisée pour la vidéo ne la met pas vraiment en valeur !
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Je suis réel !
Je continue de publier des morceaux extraits du live des Dogs au Palace, le 15 Avril 1982. Ce concert a été diffusé sur Radio 7 d'où le jingle que l'on entend au tout début du morceau. Ce tître est extrait de leur album "Different" de 1979. Apparemment, c'est Jim Valley qui est l'auteur de "I'm Real" plus connu pour avoir été le guitariste de Paul Revere & the Raiders. On connaît la passion des Dogs pour le rock "garage" américain. Ce tître semble être un passage obligé pour le groupe puisqu'il est déjà présent en version live dans la compilation "Frenchrockmania" (surtout connue pour le duo Bijou/Gainsbourg).
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Je ne peux pas être satisfait !
Nous sommes le 24 Juin 1989 à Cachan et c'est l'anniversaire de François Alysse. Les Stunners sont présents (ainsi que le Fricotins) et un gigantesque boeuf est organisé. Cette fois-ci, c'est à une reprise de Muddy Waters que s'attaque la joyeuse assemblée. Par contre, aucune idée de qui officie au chant. Ce n'est ni François, ni Philippe (le chanteur des Stunners). Aucune idée - également - de qui joue de la guitare. Peut-être Rachid, le guitariste des Stunners, peut-être François Alysse. La photo qui illustre la vidéo a été prise au Lucernaire lors d'une série de concerts de François, accompagné par les Stunners. Concert qui devait coïncider (peut-être) à la sortie de son 45 Tours chez Phonogram. Peut-être 1986 mais j'ai la mémoire qui flanche...
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Le Feu de Seaton
Continuons notre exploration des démos 87/88 du groupe Seaton. Voici "Fire", une chanson intense et habitée dans un style typique de l'époque et de certains groupes. La voix de David est grave et à la limite de l'audible par moments ! J'adore (et oui!) la guitare - elle aussi - habitée de Toto Ringelstein. Une belle réussite ! Comme toujours, la photo qui illustre la vidéo est l'œuvre de Fabrice Plas.
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The Jivin' Instructors
Le 10 Mars 1989, j'assiste au Fahrenheit (à Issy-les-Moulineaux) à un concert d'un groupe anglais complétement inconnu : les Jivin' Instructors. Les Jivin' jouent du rock qui lorgne vers le Swing et le Jump blues. Bien avant le mouvement revivaliste swing américain qui nous a donné Big Bad Woodoo Daddy ou Squirrel Nut Zippers. Je me rappelle avoir été fasciné par ces puristes et leur son tellement anachronique. Depuis, on trouve quelques vidéos sur YouTube et de l'info sur le Professor Palmermoff qui officiait au piano (et qui offre ses service pour animer vos événements). En fouillant sur le web, j'ai pu me procurer leur démo enregistrée live. Il existe d'autres tîtres sur leur Bandcamp et sur Last Fm... Et c'est tout ! Pas d'albums, pas de bio... Rien. Un autre mystère musical !
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Encore une version de "N'importe quoi" !
Voici le dernier morceau de la démo des Chinaski's feat. Dgé à la guitare, Gordon à la basse, Christou à la batterie et Pascal B. à la guitare rythmique. Ce "N'importe quoi" est à la base un morceau de Cérémonie dont il existe au moins 3 versions. Là c'est une des nombreuses versions des Chinaski's avec et c'est à noter, quelques modifications dans les paroles, d'où un nom légèrement différent. Une très jolie version où Franck excelle au chant et Dgé à la guitare !
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Les Specials et Rico Rodriguez
Un des tubes fondateurs des Specials "A message to you Rudy" est l'œuvre de Dandy Livingstone et date de 1967. Sur cet enregistrement original joue une autre légende du ska, le tromboniste Rico Rodriguez. C'est donc tout naturellement que les Specials l'invitent sur leur propre enregistrement et à les suivre en tournée. Ils iront même jusqu'à le signer sur leur label, lui aussi fondateur, "2 Tone Records". Sur ce label Rico enregistre 2 albums : That man is forward (1981) et Jama Rico (1982). Bref, j'imagine que les Specials lorsqu'ils partent en tournée avec cette légende décident d'inclure dans leur set ce morceau du répertoire de Rico : "Man From Wareika". Ce tître est également le tître du premier album solo de Rico Rodriguez enregistré en 1976 pour Island. D'où cette captation live des Specials à New-York en Mars 1980. Je ne pense pas que les Specials est réalisé leur propre version studio de ce tître. Rico est mort en 2015 et a été connu du grand public anglais grâce à sa participation au show de Jools Holland. Il existe une vidéo où le grand orchestre de Jools Holland accompagne Prince Buster et notre homme Rico prend le solo."Man From Wareika", encore une rareté des Specials !
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Ludwig Von 88
Un blog sur le rock indé français des années 80 ne peut pas faire l'impasse sur les Ludwig Von 88. Je n'ai jamais vraiment accroché sur cette formation punk et franchouille ! D'après le blog Hardcore-Punk.net : " Ludwig Von 88
débute sa carrière en 1986 crée par Fabrice Barthelon (chant), Bruno
Garcia (guitare et chant), Karim Berouka (chant) et Laurent Manit
(basse). Originaire de Paris les Ludwig Von 88 est l'un des groupes les plus populaires dans le milieu alternatif français. Une similitude peut être faite avec les Berurier Noir, en effet le style théatral de Ludwig Von 88 fait penser à nos bons vieux punk nationaux (il faut savoir qu'à l'origine les Ludwig Von 88 est crée en 1983 par Olaf)." Pour avoir le détail de la carrière de ce monument, je vous invite à lire cet article dans sa totalité ! Alors, pourquoi parler d'un groupe que l'on n'aime pas ? Et bien d'abord pour faire bien et ensuite, il se trouve que j'ai récupéré les 2 morceaux de leur premier single auto-produit et que celui que j'ai publié ne semble pas encore apparaître sur YouTube ! Donc, voici de quoi faire plaisir à mes amis punks !
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Sometimes, I feel !
Voici le dernier morceau de la 2e démo des Monkey Business, dans son jus et à la bonne vitesse. Cette démo a été enregistrée en live au studio Amadeus quelques temps avant que le groupe ne se sépare. Simple et direct, le groupe a abandonné ses envies de pop et de surf...
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Lucrate Milk
Lucrate Milk est, sans doute, le premier groupe de la vague indé. Un archétype que tout le monde connaît mais que personne n'écoute. Il faut dire que leur musique est difficile d'approche. Dissonante, hâchée, gueulante... D'après Wikipedia : "Lucrate Milk est formé de façon virtuelle entre 1977 et 1978 . « On a inventé le nom, le logo, le lettrage, et on a commencé à bombarder les murs de Paris », expliquent-ils. Ce n'est qu'à partir de 1979 que le groupe se forme physiquement. Lucrate Milk se compose alors de Laul Lombrick, (bassiste futur dessinateur pour les Béru), Masto Lowcost (sax) photographe qui rejoindra ensuite les Bérurier Noir et Washington Dead Cats), Nina Childress (qui fait ensuite carrière comme peintre, membre du collectif Frères Ripoulin, professeur en écoles d'art), Raoul Gaboni (batterie, plus tard dans MKB, Ouloumboutou et dans le collectif des Bateleurs de Bakouo) et Helno (chant, plus tard avec les Bérurier Noir et Les Négresses Vertes). Lombrick et Masto Lowcost étaient livreurs de lait avant la formation du groupe. Une sorte de who's who du rock de l'époque. Ce morceau est extrait d'un live du groupe datant de 1986 et est assez rare (mais si le tître est connu). D'ailleurs, ça me revient, dans une autre vie, nous avons croisé les Frères Ripoulin lors d'une fête hallucinée et hallucinante.
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Bashung au Casino de Paris
Les Nouveaux Monstres dans Technikart
En Novembre 1997, grâce à la complicité de Benoît Sabatier, devenu depuis le journaliste que l'on connaît, le 1er CD des Nouveaux Monstres apparaît dans la rubrique musique du Technikart N°17. Un coup de pouce plutôt sympathique d'autant que le CD n'est pas distribué !
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Robot Dancing
Je continue l'exploration du "Tome 2" des Rois Fainéants."Robot Love" est encore un morceau de soul dans la grande tradition du genre. Rapide et
racé toujours dans un anglais qui sent bon la France.
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