Voici le texte d'une chanson des Chinaski's signé Franck War. On y retrouve bien sa personnalité et une forme de désinvolture qui était un peu sa signature. La formulation (parfois) un peu malhabile apporte un charme supplémentaire à l'ensemble ! C'est l'hiver, c'est l'été...
C’est l’hiver, c’est l’été
Si je reste là, je passerai à côté
Mais j’ai vraiment la flemme et j’aime tant ne rien faire
Je reste à divaguer, perdu dans mes pensées
Derrière des lunettes noires, je peux mieux observer
La fluidité des silhouettes des filles fuselées
Et sur les coups de onze heures
Je reprendrai un Casa car
C’est l’hiver, c’est l’été avec ses à-côtés
Des nuages, du ciel bleu, des jambes longues, je les veux
Mais si je continue à me laisser aller
Je vais rester bloqué, délaisser l’atelier
Ne pas finir mes toiles, même ne pas dessiner
Rester à rêvasser, à surveiller les filles
Qui passent si près de moi, de leur pas décidé
Et sur les coups de douze heures
Je reprendrais un Casa car….
C’est l’hiver, c’est l’été avec ses à-côtés
Des nuages, du ciel bleu, des jambes longues, je les veux
A la terrasse, elles me terrassent et passent et repassent
Sans s’arrêter
Elles peuvent bien disparaître jusqu’au bout de la ville
Ne jamais me parler, ni même m’approcher
Car je sais qu’une fois seul au fond de l’atelier
Je pourrai les croquer autant que je voudrai car…
C’est l’hiver, c’est l’été
Si je reste là, je passerai à côté
Mais j’ai vraiment la flemme et j’aime tant ne rien faire
Je reste à divaguer, perdu dans mes pensées
Derrière des lunettes noires, je peux mieux observer
La fluidité des silhouettes des filles fuselées
Et sur les coups de onze heures
Je reprendrai un Casa car
C’est l’hiver, c’est l’été avec ses à-côtés
Des nuages, du ciel bleu, des jambes longues, je les veux
Mais si je continue à me laisser aller
Je vais rester bloqué, délaisser l’atelier
Ne pas finir mes toiles, même ne pas dessiner
Rester à rêvasser, à surveiller les filles
Qui passent si près de moi, de leur pas décidé
Et sur les coups de douze heures
Je reprendrais un Casa car….
C’est l’hiver, c’est l’été avec ses à-côtés
Des nuages, du ciel bleu, des jambes longues, je les veux
A la terrasse, elles me terrassent et passent et repassent
Sans s’arrêter
Elles peuvent bien disparaître jusqu’au bout de la ville
Ne jamais me parler, ni même m’approcher
Car je sais qu’une fois seul au fond de l’atelier
Je pourrai les croquer autant que je voudrai car…
C’est l’hiver, c’est l’été