3e extrait de la démo d'Ordonnance Karmélite voici "Snow White and the Seven Needles". Un tître bien en phase avec une certaine frange des Bouloupiens qui appréciaient l'héroïne (et au minimum, la sniffait). Commandant chantait dans les Karmélites tandis que son frère Boubich' jouait de la batterie. Les deux n'ont pas survécu et sont entrés dans la légende du BSS Contingent et des Bouloupiens.
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Voici un des derniers inédit de Cérémonies que j'ai en ma possession. Il s'agit d'une reprise d'un morceau anglais que je n'arrive pas à identifier. J'ai pensé d'abord à un morceau de James mais finalement, non. Une idée ? Conctatez-moi...
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J'ai déjà publié un premier extrait de ce disque pour enfants "Star Trek" sorti en 1976. Mais j'avais annoncé qu'il s'agissait du "Time Stealer" alors qu'il s'agissait de "Mirror For Utility". C'est mon erreur, voici donc, pour de vrai "Time Stealer" avec tout l'équipage de l'Entreprise ! Space, limit fronteer... -
Voici un nouvel extrait de l'album des Stunners : Rockomondo. Il s'agit d'un des rares tîtres du groupe en anglais présent sur l'album. Encore une fois, je suis surpris par la production qui ne correspond pas vraiment à l'esprit du groupe.
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On connaît Jérôme Pijon pour son tube "Cache Cache Party" mais moi je lui préfère largement ce "Mensonge d'une nuit d'été" qui cite le tître de la pièce bien connue de Shakespeare. A l'époque, les bouloupiens écoutaient parfois de la variété rock : Gamine, Grazellia de Michele et Pijon. Là il s'agit d'un remix de cette chanson sorti sur un 45 tours promo comprenant 2 fois le même morceau (en face A et face B). En fouillant sur Youtube, je n'ai pas trouvé la dite version...
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Depuis les débuts de ce blog, j'ai publié, un peu dans le désordre, des extraits de ce live de Cérémonies au Cithéa. Rappelons qu'à l'époque, en 1985, la rue Oberkampf n'était pas encore ce haut-lieu de la branchouille parisienne. Il n'y avait pas grand chose si ce n'est le Cithéa (qui existe encore) et un peu plus loin, le Studio Plus où les Négresses Vertes, le Cri de la Mouche (et bien d'autres) répétaient. Pour réaliser le visuel de ce live, j'ai extrait la photo figurant sur le verso de leur single auto-produit et pour télécharger ce live en Mp3, c'est ici!
Je retourne le 33 tours pour écouter la face B de "Popp Around the World". Son concept est simple. A travers la tracklist de cet album, André Popp nous invite à découvrir différents pays et donc différentes cultures musicales. Ce "Midnight Carrousel" est sans doute le reflet d'une ville anglo-saxonne... Je ne sais pas trop. En tous cas, il y a tout ce qui fait la beauté du travail du maestro... Dont une certaine luxuriance instrumentale.
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Qui dit 45 Tours, dit 2 faces. Voici la face B du single d'Ici Paris "Si tu m'aimais encore", soit "Un songe". Un tître aux réminiscences hawaiiennes qui n'est pas sans rappeler "Le Fantôme du Lagon" présent sur le premier LP du groupe. Une bonne chanson comme on les aime !
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Quatre ans après la sortie du single "Maman, je n'veux plus aller à l'école" chez Ariola, Ici Paris feat. Anicée Alvina (au chant) publie un second single : "Si tu m'aimais encore" chez Milk Shake Records. Je ne connaissais pas ce label qui a à son catalogue d'illustres inconnus : Abribus, Clémentine Tango, Max Arto, Empty Eye, Dodgers... Etc. Ce label changera un peu plus tard son nom pour "M.S.R.". Il semble avoir été très productif de 87 à 90. J'imagine que la déferlente CD a du avoir raison de son modèle économique. Ce single est typique du groupe, 2 morceaux composés par Shere Khan (guitare) et lorgnant vers une certaine variété française en vogue dans les années 80. Deux sympathiques compositions qui mériteraient un traitement un peu plus rock. Malheureusement "Si tu m'aimais encore" n'a eu aucun succès... Et le groupe attendra les années 2000 pour renaître de ses cendres (avec la fille d'Anicée au chant).
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Dans le monde des collectionneurs de disque, il existe le sous-monde de ceux qui collectionnent les disques pour enfants. C'est à cette spécialité que j'aimerai rendre hommage aujourd'hui en publiant la première des 4 histoires que comprend ce 33 tours de Star Trek. Cet album est sorti en 1975 sur un label apparemment affilié à Paramount. Mais on en saura pas plus. A part que cette première histoire est co-écrite par un certain Neal Adams. Peut-être le fameux Neal Adams star de la BD américaine qui a œuvré chez Marvel (et qui a peut-être dessiné la pochette). Aucune idée de qui interprète cette petite histoire haute en couleur (le "Voleur de temps"), s'agit-il du cast de la série et des films ? Le générique original de la série n'est en tout cas pas utilisé...
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Encore une version de "Jolie Ordure" de Cérémonies. Pas beaucoup d'infos sur cette version si ce n'est que c'est Dgé à la guitare et qu'à l'écoute, on se rend compte que le groupe vient de composer le morceau. La voix de Franck n'est pas très en place.
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Voici le dernier morceau de Cérémonies au Cithéa en 1985. "Insanities"est un classique du répertoire du groupe. Je n'ai jamais vraiment compris de quoi parlait ce morceau mais sa simplicité basée sur un rythme de guitare le rend tout de suite identifiable et mémorisable. C'est le dernier morceau de ce live, je vais donc (dans un prochain post) proposer l'intégralité du concert à télécharger en mp3.
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Il y a plus d'un an, j'ai publié un premier extrait de la démo d'Ordonnance Karmélites "Les Karmélites pour les intimes). En voici un second... Je ne me souviens pas de grand chose quant à ce groupe si ce n'est qu'il me semble que "le Commandant" jouait dedans et qu'ils semblaient adorer Siouxsie et les Banshees. Bref, si vous tombez sur ces lignes et que vous avez des infos, n'hésitez pas !
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Cérémonies, groupe proto goth. et new wave français, ne manquait pas d'un certain humour. C'est une des caractéristiques du groupe qui ma toujours plu. On peut être sombre mais ne pas perdre son sens du fun. Dans ces quelques secondes extraites des K7 de Gordon (basse), on entend le groupe adapter leur "Jolie Ordure" sur un rythme hispanisant. Gordon, sur le boitier de la dite K7, a noté "mexicana"... J'ai donc opté pour "The Mexican Way". C'est, bien sûr, Dgé qui joue de la guitare...
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On peut acheter des produits dérivés siglés Neon Campfire,ici-même. Neon Campfire est une des formations de David Rosane dont j'ai déjà parlé ici-même ! Le concept est de David et la mise en image est signé Guillaume Boitelle !
Le 21 Juin 198?, Bibi & les Fricotins donnent leur premier concert. Ils réunissent, pour la Fête de la Musique, tous leur amis à l'endroit même où ils répètent (le studio West Image à Cachan). Pour l'occasion, ils ont recruté une jeune femme qui chante et joue du clavier. Ainsi, sur cette 1er ébauche de l'Eté 73, elle ajoute des chœurs assez étonnant rajoutant à l'étrangeté de ce groupe inclassable. Les Fricotins jouent du rock instrumental qui lorgne vers la new-wave avec une boîte à rythmes. Ils jouent pas très bien et souvent faux. J'ai, en tous cas, oublié le nom de cette jeune femme qui ne continuera avec les Fricotins, notamment parce que pendant ce premier concert, les autres membres ont oublié de la présenter. Rien d'intentionnel plutôt un oubli dû au stress. La photo qui illustre la vidéo a été prise pendant le concert et c'est le public qui a assisté à cette première. On y aperçoit les parents de Pascal, un des deux guitaristes.
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Depuis plus d'un an, je diffuse ma captation du concert des Blessed Virgins au Fahrenheit, le 25 Avril 1986. Le Fahrenheit était une salle de concert sous une MJC à Issy-les-Moulineaux. Un concert mémorable pour tous ceux qui étaient dans la salle, ce vendredi-là. Le groupe, généreux, joue ses tubes et d'autre morceaux moins connus, voir inédits. L'année suivante, le groupe arrête et les deux compères Eric Viali et Frédéric Lebovici se lancent dans un nouveau projet : Le Train. Sans plus de succès. Ici, on pourra télécharger le concert. Comme d'habitude, j'ai concocté le visuel qui va bien. Une sorte de "fan art" !
Toujours difficile de ré-écouter Mademoiselle Arnaud, une production de mon ami Edouard. Il y a comme un sentiment de gâchis et d'avoir été (un peu) exploité. Car cette chanteuse est passée à autre chose, sans se retourner, le jour où elle a compris que ça ne marcherait pas avec ce concept. Bref, si j'avais trouvé ça très emprunté à l'époque, la ré-écoute est une bonne surprise. Il y a une forme de beauté que je n'avais pas saisi. C'est un peu un drame récurrent chez moi, j'ai toujours un train de retard musical. Quand on en est au trip-hop, je découvre la Jungle. Pas grave, voici Mademoiselle Arnaud qui n'a jamais vraiment existé !
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Mon premier contact avec Gamine date de l'achat de ce single trouvé dans un bac à soldes d'un disquaire parisien. Le tître, bien sûr, n'était pas sans évoquer (pour moi) le "Julie Ocean" des Undertones. Et puis, la réputation sixties du groupe les précédait. A cette époque, on ne rigolait pas avec le punk garage dans la belle région de Toulouse. Avec plaisir, j'ai ré-écouté ce très bon single qui ne semblait pas être disponible sur YouTube. Alors, voilà !
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Extrait de "Je Vote Pour Tes Fesses", voici "L'Etat, Au-dessus des Lois" d'Antoine L. qui ressemble à une prise de position politique. Antoine qui ne souhaite pas que je cite son nom de famille... Après tout, on est sur le Web. Bref, j'aime bien la simplicité et les harmonies de ce petit morceau qui mériterait sans doute un peu mieux que ces arrangements lo-fi. L'album, je le répète, auto-produit a pour producteur officiel Marc-André. Classe. La photo qui illustre est l'œuvre de Bertrand Stark.
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Quand Yann et Marc-André envoient aux maisons de disque la dernière maquette de Blade : "La Main, Le Feu" avec David R. au chant, ils sont sûr d'avoir des retours. Cette chanson est, selon eux, un tube. Ils sont donc surpris de n'avoir aucun retour. Marc-André suggère alors que le visuel n'est pas très vendeur. Ils ré-envoient la maquette sous un autre tître : Cosmos IV avec un look plus pop et plus sixties. Mais rien n'y fait, personne ne s'y intéresse. Pour ré-écouter "La Main, Le Feu"c'est ici !
Le 28 Novembre 1991, j'étais à l'Espace Ornano pour voir les Fuzztones (avec les Ambassadeurs en première partie). Si j'ai adoré les Cramps, les Fuzztones m'ont permis de découvrir toute la scène sixties de ces années-là. Le groupe a commencé à New-York dans les 80's mais son leader, Rudi Protrudi, s'est finalement installé à Berlin d'où il gère ses affaires et la vie de sa formation culte. On lui doit, d'ailleurs, un formidable groupe instrumental : Link Protrudi et les Jaymen qui a, à son actif, deux ou trois albums. Bref, depuis la fin des années 80, je reviens régulièrement aux Fuzztones et à leurs guitares Vox. Leur approche est un peu moins extrême que celle d'Ivy & Lux et on trouve un paquet de pépites dans leur discographie. Voici une reprise du classique des Sonics enregistré live et en mono en Italie, à Rimini, le vendredi 15 Avril 1988. Au passage, notons que les Fuzztones fêtent, en 2020, leur 40e anniversaire ! -
Encore un classique des vierges de Pontoise ! Il s'agit de "Deux Pour Cent" présent sur le seul et unique album studio des Blessed Virgins ! Dernier morceau de ma captation... Mon prochain post spécial "Blessed Virgins" sera l'ensemble des morceaux du concert à télécharger en Mp3 !
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Voici "Yaktagan" un tître des Rita Mitsouko extrait de leur premier
album. Nous sommes à Angers, pendant le mois de Juillet 1985, les Rita Mitsouko jouent le premier morceau de leur rappel !
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J'ai eu le plaisir et la chance - par hasard - de voir El Vez à Paris au Chesterfield Café dans les 90's. El Vez est un imitateur d'Elvis mais dans une version mexicaine. Il "latinise" les grands tubes du king et en profite pour y glisser des messages militants à l'intention des authorités américaines. Il est accompagné, sur scène, par deux danseuses et change plusieurs fois de costumes. Si El Vez n'est pas forcément un très grand chanteur, il compense par une énergie débordante et un solide sens de l'humour. Bien sûr, El Vez écrit à lui seul une page de l'histoire de l'outsider music dont j'ai déjà parlé dans ces colonnes. D'un autre côté, Los Straitjackets s'est affirmé comme l'un des groupes pilier de la nouvelle scène surf. Ils ont la particularité de jouer avec des masques de catcheurs mexicains et jouent sur des guitares qui portent leur nom. Je ne savais pas que ces deux représentants de la trash culture avaient œuvré ensemble jusqu'à ce bootleg tombé miraculeusement tombé entre mes mains. Après enquête, on peut trouver aussi quelques vidéos sur YouTube et un 45 tours vynil. Bref, ce super groupe semble se retrouver régulièrement pendant la période de Noël pour reprendre le répertoire ad-hoc. Vite, je publie cette reprise d'un classique de Noël suivi d'un des classiques du répertoire d'El Vez : "In The Barillo / In The Ghetto".
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Premier post de 2020 et il est temps pour moi de faire le point. En lançant Bouloup, je n'avais pas une idée précise de la direction que j'allais prendre. 708 posts plus loin, le terrain commence à se dégager. Je sais aujourd'hui que j'ai encore de quoi publier pendant - peut-être - une année encore. Au delà, je ne sais pas. Et puis, on écrit pour être lu et ce n'est pas forcément le cas. Pas vraiment grave puisque le temps joue en ma faveur... Un jour ou l'autre, j'aurais enfin l'audience rêvée. J'ai quelques nouvelles idées pour cette année 2020 que je garderai pour moi. J'ai encore quelques "documents" à déterrer, quelques incunables à partager. A commencer par ce remix ("Le Voyage" Montana Mix) de Gamine que j'ai beaucoup écouté et que je n'ai pas trouvé sur YouTube. Gamine et son Voyage m'ont beaucoup accompagné alors que je faisais des allez-retours pour Aix-en-Provence où je tombais amoureux d'une jeune femme qui se trouvait être une ex-girlfriend de David Rosane que je ne connaissais pas et avec qui je n'avais pas encore créé Monkey Business. Gamine a ainsi illuminé une partie de mes eighties. Une époque où il était difficile de couper à Jeanne Mas ou à Gold, à MTV ou au Top 50. Une époque où des groupes comme Gamine pouvait avoir leur place.
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